ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

biographie de l'evangile de barnabé n°3

BIOGRAPHIE DE L’EVANGILE DE BARNABE N°3 :


 Cette page traite en particulier d'un sujet important : Barnabé et l'Evangile portant son nom. Qui était-il ? Un compagnon du Messie ou un compagnon de Paul ? Pourquoi les Dignitaires évangéliques ont-ils détruit et cherché à détruire cet Evangile ? Tout ceci à la lumière des Ecritures. Bonne lecture ! Que le Seigneur de l'Univers guide vos pas dans ce qu'Il aime et agrée !

3. Barnabé : secrétaire particulier du fils de Marie. 

4. Ce que l'Évangile contient.

5. Titre.

6. Découvertes.

7. L'Europe biblique en ébullition.

- Quelques Note

Un manuscrit ancien : l’Evangile de Barnabé.

Un manuscrit gênant ? Pour qui et pourquoi ?

Allah Qu’Il soit Loué dit : « O Fils d'Israël, je suis vraiment un messager de Dieu à vous, confirmateur de ce qu'il y a devant moi de par la Torah, et annonciateur d'un messager à venir après moi, dont le nom sera "Ahmad" !... » (Coran Sourate 61, verset 6)

Point de divinité [1] excepté Allah le Très Haut. Que les meilleures salutations soient sur les prophètes et messagers divins dont le Sceau de la Prophétie [4].

3. Barnabé : secrétaire particulier du fils de Marie. 

Il deviendra un adepte très ardent du fils de Marie (sur lui la Paix !). C'est sous ses dictées personnelles, qu'il transcrivit l'Évangile, l'Évangile du fils de Marie dans la langue hébraïque, la langue maternelle de Ichoua (Jésus) fils de Marie (sur lui la Paix !). Ceci en entier, et en sa présence, avant même que celui-ci soit soulever au ciel par les Anges. 

4. Ce que l'Évangile contient. 

Il contient un enseignement complet du fils de Marie se trouvant dans la Bible canonique. Il contient aussi des informations supplémentaires. 

5. Titre. 

Pour sa dévotion au fils de Marie, il lui a été donné en hébreu, le titre de BarNabuha. Ce mot en hébreu est composé de "bar" signifiant "fils de", et "Nabuha" qui lui signifie "prophète".

Ce titre de Bar-Nabuha a été donné par tous les Juifs aux Prophètes, à leurs successeurs ou héritiers religieux. Par exemple, le Bar-Nabuha de Moïse était Josué, de Samuel David, de David Salomon, de Elie Elisée, de Elisée était Jehu, de Zacharie son fils Jean, de Jean Jésus etc. De là, le titre de Barnabé, moyen par lequel le lévite juif Joses a été fait le Bar-Nabuha ou l'héritier spirituel [7] du fils de Marie. Après cela, il était du devoir de ce dernier de porter et transmettre ses enseignements, après qu'il fut élevé au ciel.

6. Découvertes. 

Une copie de cet Évangile écrite de l'écriture personnelle de Barnabé était aussi trouvé menti sur sa poitrine quand sa tombe a été ouverte en l'an 382 (Apr. J-C.). Le dit Évangile était intact, comme s'il venait d'être juste placé à l'intérieur de la tombe. Également le corps de Barnabé. Les deux relèvent du miracle sans aucun doute, autrement ni l'Évangile ni le corps de Barnabé ne seraient restés intact pendant 300 années.  Il est de coutume chez les gens de cette région du monde [8] d'enterrer un trésor encore plus important dans une tombe.  Le fait même que cet Évangile en hébreu ait été trouvé intact après plus de 300 années sur la poitrine de Barnabas, prouve clairement combien il chérissait l'Évangile en hébreu, langue maternelle de Jésus. Car, il contenait non seulement les enseignements originaux de Jésus, mais il contenait aussi les enseignements réels de Jésus. Autrement, pourquoi devrait-il être placé sur sa poitrine dans sa tombe ? Cet Évangile [9] en hébreu a été depuis découvert dans la Bibliothèque privée du Pape au Vatican, à Rome…  

7. L'Europe biblique en ébullition.  

Lorsque J.F. Cramer montra à J. Toland, en I709, la traduction italienne de l'Évangile de Barnabas, après qu'il en ait réalisé une traduction en espagnol, une grande controverse s'éleva à travers l'Europe, tout au long du 18ème siècle. On fit beaucoup de recherches. Quelques-uns, uns des chercheurs les plus célèbres furent: 

   - Dr Holme, Recteur de Hedley,

   - Dr Thomas Monkhouse, élève du Collège de la Reine, d'Oxford, qui fit une traduction anglaise à partir de l'espagnol.

   - Dr White Bampton, lecteur en 1784, etc.

Les opinions suivantes ont été exprimées en faveur des écrits de Barnabé, qui fut un compagnon de Jésus (sur lui la Paix !), ainsi que l'un des 120 premiers convertis, par les anciens Pères de l'Église, les chercheurs chrétiens, et égalité les autorités ecclésiastiques.

Celui-ci a été cité par Clemens Alexandrinus, Origène, Epusebius, Jérôme et de nombreux anciens Pères.

Cotelenius affirme qu'Origène et Jérôme l'ont estimé comme authentique et canonique, de même le Docteur Bernard, professeur Savilien à Oxford, pensa qu'il fut également considéré, dans les Églises d'Alexandrie, comme les autres écritures canoniques. Dodwell supposa qu'il fut publié avant l'épître de Judée, et les écrits de Jean. Vassius, Dupuis, Dr Cane, Dr Mill, Dr S. Clark, Whiston et l'archevêque Wake, le considèrent également comme authentique (page 143 du Nouveau Testament apocryphe de William Hone, Londres 1820).

Le chercheur chrétien arabe, Dr Khalil Sahadat, Daï du Caire, après une recherche réalisée sur le manuscrit italien, nous informe des points suivants :

1) - Barnabé était un Juif de Chypre et l'un des compagnons de Jésus (sur lui la Paix !), ainsi que son disciple.

2) - L'évangile de Barnabé comprend les enseignements, les avis, les conseils de Jésus, transcrit en hébreu araméen, en sa présence, avant qu'il ne fut élevé au ciel.

3) - L'évangile de Barnabé contient également l'histoire complète de Jésus depuis sa naissance jusqu'à son ascension, comme on la trouve dans les quatre autres évangiles canoniques, à la différence que s'y trouve en plus maints passages faisant défaut dans ceux-là, prouvant que l'on y a délibérément retiré quelque chose...

4) - L'évangile de Barnabé fut reconnu comme canonique jusqu'en 325, et était régulièrement lu dans les églises d'Alexandrie, suivant les premiers Pères de l'Église.

5) - Cet évangile échappa à la destruction en 325, parce qu'il se trouvait quelque part à Alexandrie, et ne put être ainsi amené au concile de Nicée, auquel cas il eût été brûlé.

6) - Athanasius, le maudit de Dieu, déclara apocryphe, dans une lettre en 362, un nombre de travaux originaux personnellement dictés par Jésus (la paix soit sur lui), et recueillis par les scribes Juifs, avant son ascension. Cette liste incluait "I'Evangelicum Barnabe" en hébreu, de script araméen.

7) - En 382, le Pape St Damas I, en tant que chef du concile de l'Église, approuva la liste des évangiles apocryphes préparée par Athanatius. Cette liste exigeait que les autres exemplaires soient restitués au Pape.

8) - Les anciens auteurs avaient mentionné l'évangile de Barnabé dans le "décret de Gelassius" et pourtant l'Église prétendit que l'on ne pourrait jamais connaître son contenu, celui-ci ayant été soit perdu, soit détruit !

9) - En 1585, un prêtre italien, nommé Peretti, devint le Pape Sixtus V.

10) - Le moine italien, Fra Marino, étant l'ami intime du Pape Sixtus V, se vit accorder une permission spéciale par celui-ci, pour lire les livres secrets dans sa librairie personnelle.

11) - Fra Marino pouvait lire l'hébreu, en script araméen. Lorsqu'il lut l'évangile original de Jésus (sur lui la Paix !), transcrit par Barnabas, en 1585, dans la librairie du Pape, il fut si impressionné, qu'il prit quelques feuilles de papier, de qualités différentes, puis en constitua un petit livre de notes (de poche) d'environ 6 1/4 sur 3 1/4 pouce, comprenant 255 pages, et après avoir réalisé sa traduction, il les recouvrit avec de minces feuilles rigides, recouvertes de cuir. Il traduisit ainsi l'évangile de Barnabé en quelques jours, en langue italienne, de sa propre main, dans un style courant, et non en lettres d'imprimerie comme c'eût été le cas pour un livre destiné à l'édition.

12) - Fra Marino devint Soumis [10] (Ribaat : MUSULMAN : les Soumis à Allah le Dieu Unique…) en accord avec les instructions de Jésus contenues dans l'évangile de Barnabé.

13) - Fra Marino mourut sans avoir dévoilé le contenu de sa traduction italienne de l'évangile de Barnabé. Celui-ci resta donc inconnu aux Soumis. (…Que Allah fasse Miséricorde à Fra Marino) 

14) - Cette traduction italienne passa de mains en mains pendant une période d'environs 110 ans sans que son auteur soit connu des Soumis, et finit par arriver jusqu'à J.F. Cramer, conseiller du Roi de Prusse, peu après 1700.

Lond-Sale et Laura Ragg nous informent dans leur introduction de l'évangile de Barnabé, publié par les éditions Clarendon (1907), page X et XI :

" Notre manuscrit italien fut acquis à Amsterdam, par J.F. Cramer qui le présenta à John Toland en 1709. Quatre ans plus tard, en 1713, Cramer transmit sa découverte à un célèbre connaisseur, le Prince Eugène de Savoie, et celle-ci aboutit finalement à la bibliothèque du Prince, à Vienne, où elle se trouve encore actuellement ".

La version espagnole, introuvable aujourd'hui, dût être l'œuvre de John Toland, le célèbre chercheur. Cet évangile de Barnabé était une traduction du manuscrit italien et devait dater d'environ 1709. Ainsi le manuscrit espagnol fut-il écrit quelques 110 ans après le manuscrit italien, si l'on fixe la date de l'écriture de celui-ci autour de 1585.

Le manuscrit italien se trouvait à la librairie impériale de Vienne au début de ce siècle, lorsque Lond Sale et Laura Ragg le recopièrent pour le traduire en anglais.

George Sale, page 10 de sa note aux lecteurs, dans sa traduction du Coran, fait la remarque suivante sur la version espagnole de l'évangile de Barnabé :

" Il se trouve une préface entête de celui-ci, où l'on fait le récit de celui qui découvrit le manuscrit orignal, et qui était un moine chrétien, appelé Fra Marino, qui nous dit, qu'ayant eu accidentellement connaissance d'un écrit d'Irénaeus ( entre autres) où celui-ci parlait contre St Paul, allégeant pour son autorité, l'évangile de Barnabé, il devint extrêmement avide de découvrir cet évangile et que Dieu, dans Sa miséricorde, l'ayant rendu très intime du Pape Sixtus V, un jour, comme ils étaient ensemble dans la bibliothèque Papale, sa "Sainteté" s'étant endormie, pour s'occuper, il chercha un livre à lire, et mit la main sur cet évangile qu'il désirait tant : plein de joie à cette découverte, il n'eut pas de scrupule à cacher sa découverte dans sa manche, et au réveil du Pape, prit congé de lui, emportant avec lui ce trésor céleste, par la lecture duquel il devint un converti au Mohammadisme(*)". (Ribaat : George Sale, fait erreur, ce n’est pas « Mohammadisme », mais plutôt, convertion à l’Islam religion d’Allah pour les homes jusqu’à la fin des temps, conforment au Coran)

  "Cet évangile de Barnabé contient une histoire complète de Jésus depuis sa naissance jusqu'à son ascension, et la plupart des événements contenus dans les quatre évangiles réels s'y retrouvent également.''

George Sale confirme le fait qu'il ne vit jamais le manuscrit original, ni sa traduction en italien, du moine Fra Marino. Il déclare qu'il ne lui fut donné seulement en 1734 par le Docteur Holme, Recteur de Hedley dans l'Hampshire, le manuscrit espagnol de cet évangile. Cet évangile était, bien sûr, la traduction de la version italienne provenant de l'évangile original en araméen qui se trouvait dans la librairie privée des Papes. Il fit donc les remarques précédentes au sujet du vol du manuscrit hébreu, apparemment une pure spéculation, comme on le verra plus tard grâce aux remarques de Lond Sale et Laura-Ragg, qui, non seulement virent le manuscrit italien, mais aussi le transcrivirent et le traduisirent. Si l'évangile de Barnabé en hébreu, avait été volé par le moine Fra Marino, comme prétendu ; alors le dit original aurait dû être découvert comme le manuscrit italien le fut !

Mais le fait qu'il ne soit pas tombé aux mains du public, prouve que le manuscrit original en hébreu se trouve encore dans la bibliothèque privée du Pape et que Fra Marino n'a eu en fait que la traduction en italien qu'il fit lui-même.

Lond Sale et Laura Ragg, dans leur préface de l'évangile de Barnabé, nous informe comme suit :

1) - Le manuscrit espagnol fut transmis du Docteur Holme, docteur de Hedley, au docteur Thomas Monkhouse, membre du Collège de la Reine, à Oxford.

2) - Le Dr Monkhouse donna le texte du manuscrit espagnol ainsi qu'une traduction en anglais au Dr White Bamptôn, un lecteur, en 1784. Ainsi, voyons-nous que le manuscrit espagnol fut en existence jusqu'en 1784 et qu'il en existait également une traduction anglaise.

3) - Quand Lond Sale et Laura Ragg tentèrent d'étudier ce manuscrit espagnol, vers 1902-1906, ils ne purent en retrouver la trace. Ils firent cette remarque à son sujet : "qui a, depuis, malheureusement, disparu à notre vue". Ils ne purent, non plus, trouver sa traduction en anglais.

4) - Dans le manuscrit original en Italien, qu'ils recopièrent et traduisirent en anglais, ne se trouve aucune référence au fait que le moine chrétien Fra Marino, déroba l'original hébreu dans la bibliothèque du Pape. L'accusation, faite par George Sale, dans sa note de 1.34, au sujet du vol commis par Fra Marino, est donc fausse, en accord avec le manuscrit italien, et du fait que l'original en hébreu, ne soit pas tombé aux mains du public, ce qui eût été le cas s'il avait été dérobé. De plus, si l'original avait été sorti, quelle nécessité pour Fra Marino de faire une traduction italienne ? En fait, cette traduction nous montre qu'il ne fut pas possible de saisir l'évangile de Jésus en hébreu, enregistré par Barnabé, hors de bibliothèque privée des Papes.

Donc, Fra Marino dut traduire celui-ci de sa propre main, et pour sa convenance, dans sa langue maternelle, l'italien.

Le fait que Fra Marino le traduisit en italien, à partir du manuscrit hébreu, qui se trouvait dans la bibliothèque du Pape, où il avait eu permission d'accès, semble beaucoup plus plausible pour trois raisons évidentes :

a) - le manuscrit italien est de la taille d'un petit livre de notes qui pouvait être aisément caché dans les pans d'un habit monastique. En fait, Fra Marino transportait avec lui, chaque jour, quelques feuilles de papier, et lorsqu'il se trouvait seul dans la bibliothèque, il traduisait en italien l'évangile en question. Ce procédé continua un certain nombre de semaines, avant qu'il n'eût terminé sa traduction.

b) - Le style de l'écriture est rapide et courant, ce qui n'eut pas été le cas à propos de l'original, pour lequel on s'attendrait davantage à trouver des lettres bien formées, constituant un ouvrage de plus grande taille, si un tel évangile avait été préservé dans la bibliothèque papale.

c) - Le fait même que Fra Marino se convertit à l'Islam après l'étude du livre en question, laisse entendre que ce qu'il vit de ses propres yeux doit bien avoir été le document original en hébreu araméen, écrit durant la vie de Jésus par Barnabé, l'un de ses compagnons. C'est un fait que l'évangile de Barnabé contient beaucoup d'informations données par Jésus, qui font totalement défaut aux "soi-disant" évangiles canoniques.

Lond Sale et Laura Ragg nous renseigne, page 14 et 15 dans leur introduction de cet évangile:

" Le papier est décrit par Toland comme étant "turc", et Denius l'approuve, mais un examen soigné repousse cette hypothèse. Ce sont, en fait, 2 feuilles (107-108) qui peuvent être décrites comme délicatement gommée et polies, mais elles demeurent totalement différentes par leur caractéristique, des autres jaunes, fines et lisses. Toutes les autres pages sont d'un quelconque papier de coton, grossier et solide, et un examen minutieux révèle une confection à l'eau, qu'aucun papier oriental ne connût. " L'écriture sans cercle, dit Mr Briquet, est distinctement italienne, et la forme de celle-ci assume dans le cas présent, appartient selon le même expert distingué, à la seconde moitié du 16ème siècle.

" L'écriture ne peut-être, bien sur, d'une plus grande ancienneté que le papier, et probablement guère après. Le spécimen photographique que nous donnons de la première page, ainsi que de l'une du milieu, donnera suffisamment de matériaux pour un jugement positif de son script. Son style général sera reconnu comme celui de la moitié du 16ème siècle. Une telle ressemblance peut être trouvée dans certains manuscrits vénitiens de 1543, 1563, et 1564, dans les archives d'état, et 1550, 1562 et 1567 dans les archives de St Marc. Le plus exact parallèle que nous ayons vu, remarquable pour la reproduction des lettres P et H, demeure celui d'un document de la collection la plus tardive, qui porte la signature : "Franc Vianello, Segretario Ducale," 15 avril 1584."

Ainsi le manuscrit italien fut écrit sur du papier manufacturé en Italie, durant la seconde moitié du 16ème siècle, après 1551 et avant 1600, et dans un style d'écriture prévalant en 1584.

Il doit donc être l'œuvre écrite par Fra Marino durant la période du règne du Pape Sixtus V, autour des années 1585. 

Ainsi est-il en conclusion, prouvé que le manuscrit italien provient du texte hébreu araméen de "l'evangelium Barnabe" de la bibliothèque privée des papes.

Celui-ci doit donc former les véritables enseignements de Jésus (sur lui la Paix !). S'il ne contenait pas ces enseignements précis, il n'aurait pas pu connaître l'éventualité d'être préservé dans la librairie confidentielle des papes depuis 382.  On se souviendra comme cité auparavant, que le Pape St Damas 1er, avait émis un ordre en 382, à l'effet duquel toute personne possédant l'évangile de Barnabé, parmi d'autres, devrait le restituer au Pape.

Lond Sale et Laura Ragg notèrent qu'il leur fallut quatre ans pour traduire ce manuscrit italien de l'évangile de Barnabé, en anglais. Ils furent assistés dans cette tâche, par "Padre Minocchi de Florence, le professeur Nallino et Casareo de Palerme, des professeurs Guidi et Nonaci de Rome, du professeur Grescini de Padoue, du Commendatore Malagola des Archives de Venise, du professeur J. Ritter Von Karabacek : directeur de la librairie impériale de Vienne et de son collègue le Dr Rudoldh Beer."

Des milliers de copies de l'évangile de Barnabé furent publiées par "Clarendon Press de l'université d'Oxford" en 1907. L'auteur de cette thèse a essayé d'obtenir une copie de ce livre durant de nombreuses années, mais pas une seule copie ne semble exister quelque part. Après des années de recherche, une copie fut finalement retrouvée au "British Museum" de Londres. Une photocopie de cet évangile de Barnabé fut enfin obtenue du "British Museum", avec l'aimable assistance de ses correspondants anglais.

On peut se sentir intrigué à l'idée de savoir pourquoi surgissent tant de difficultés pour trouver, ne serait-ce qu'une copie de cet évangile !

La réponse nous est donnée par Frédéric C. Grant, du séminaire d'Union Théologique des U.S.A. Il révéla que l'Eglise entreprit des démarches délibérées pour supprimer cet évangile de Barnabé de Lond Sale et Laura Ragg, publié par "Clarendon Press", 1907.

A cette découverte, l'on peut déduire les conclusions suivantes :

1) Certainement il n'existe plus la peur d'être persécuté par les empereurs romains, puisque l'empire romain a disparu depuis des siècles.

2) Si l'évangile de Barnabé est la version la plus véritable de l'Évangile de Jésus (sur lui la Paix !) enregistré par Barnabé, l'Église a commis alors une sérieuse erreur en supprimant les enseignements originaux de Jésus (sur lui la Paix !). Si ce n'est pas le cas, il n'était pas nécessaire de supprimer cet évangile ; une personne intelligente, en le lisant, comprenant par-là qu'il n'était pas correct, l'évangile en question aurait été automatiquement ignoré. Le fait de vouloir supprimer et de supprimer fait toujours plus de mal, et laisse l'impression que l'on cache la vérité !

3) Quand le travail de Barnabé fut admis par des autorités de l'Église, comme contenant les enseignements authentiques de Jésus et qu'il était ainsi reconnu jusqu'au concile de Nicée, en 325, alors pourquoi n'a-t-il pas été publié par le Vatican ? Pourquoi le monde devrait-il dépendre de la traduction italienne, réalisée par le moine Fra Marino ?

4) Qu'advint-il du manuscrit espagnol ? Eut-il à souffrir le même sort que l'évangile de Levi et de Jean, en 325, dans les mains de l'Église du Christ ?

5) Qu'est-il arrivé à la traduction anglaise du manuscrit espagnol ? Fut-il détruit ou supprimé délibérément de la même façon que les milliers de copies de l'évangile de Barnabé ?

Certes les réponses à toutes ces questions ne sauraient être connues de nous de façon indubitable, mais chacun pourra, à la lumière de ce qu'il vient de lire, s'en proposer de forts plausibles.

Nous faisons suivre ce bref résumé historique par la description et les attributs du Prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !) contenus dans l'Évangile de Barnabé, traduit du manuscrit italien de Vienne[11].

En conclusion de cette étude, nous dirions que de tous les textes existants aujourd'hui sur le prophète Jésus ( sur lui la Paix !) notre confiance se place davantage sur un tel récit, que sur les quatre officiels et canoniques, sans pour cela renier leur part de lumière. Néanmoins, la vérité appartenant à Dieu seul, nous implorons ses faveurs et son pardon, s'il a pu se glisser des erreurs, indubitables aux hommes qui durent le conserver. Car, en fait, pourrait-il se trouver un texte aussi bien conservé et authentique que le dernier message révélé de Dieu (qui est le Coran), malgré ses 14 siècles d'existence ?  à suivre...

Que le Seigneur des mondes nous guide tous dans ce qu'Il aime et agrée !  

Point de divinité, de dieu que Dieu, Hachem, Allaha !

« Vulnerant omnes, ultima necat. »

Nous ne le dirons jamais assez.

Explicit totus liber.

Quelques Note :

[1] Le Créateur des cieux et de la terre est donc la seule et véritable divinité qu’on adore et qu’on se doit d’adorer véritablement. 

[4] Soit : Ahmad-Mohammad, fils d’Abd Allah, (...) fils d’Ismaël, fils d’Abraham  (sur eux la Paix !). Pour l’Islam traditionnel, il est le Sceau de la Prophétie, le Sceau des prophètes et messagers divins. 

 [7] Qui est l'héritier spirituel du fils de Marie ? Les avis diffèrent à ce sujet. Pour certains, c'est Pierre, d'autres, Jacques, d'autres, Thomas, etc. Mentionnons au passage ce récit : Selon Nâfi' fils d'Umar rapporte que 'Umar fils de Khattâb écrivit à Sa'd fils de Abî Waqqâs, alors que celui-ci se trouvait à Qâdisiya, pour qu'il envoie Nadla fils de Mu'âwiya al‑Ansârî à Hulwân, en Irak, et qu'il attaque ses environs immédiats. Sa'd envoya donc Nadla à la tête de trois cents cavaliers en Irak. Ils attaquèrent les abords de la ville, conquirent un butin considérable et firent de nombreux prisonniers. Comme ils s'en retournaient, amenant butin et prisonniers, le temps de la prière de l'après-midi les surprit alors que le soleil était sur le point de se coucher. Nadla cacha le butin et les prisonniers au pied de la montagne et fit l'appel à la prière. A peine avait‑il lancé: «Allâhu Akbar», [Dieu est Le plus Grand] qu'il entendit une voix qui lui répondait de la montagne :

   - O Nadla, tu as proclamé la grandeur de Dieu comme il se doit ! Nadla poursuivit :

   - J'atteste qu'il n'est nulle divinité en dehors de Dieu ! et la voix lui répondit :

   - Parole qui ne comporte pas là ambiguïté, ô Nadla !

   - J'atteste que Muhammad est l'Envoyé Dieu ! continua Nadla, et la voix inconnue prit :

   - C'est lui qui [nous] met en garde et que nous a annoncé 'Aïssâ (Jésus) ‑sur lui la Paix ! et c'est sur sa communauté que l'Heure se lèvera.

   - Venez à la prière ! appela Nadla.

   - Heureux ceux qui s'y rendront et l'accompliront avec régularité, reprit la voix.

   - Venez à la réussite !

   -  Ont réussi ceux qui ont répondu à l'appel de Muhammad, c'est un gage de pérennité pour sa communauté, dit encore la voix.

   Nadla termina l'appel : Dieu est Le Grand, Dieu est Le plus Grand, il n'est pas divinité en dehors de Dieu ; et, de la montagne, la voix conclut :

   - Ton attestation exclut tout autre que Dieu. Dieu en fasse un viatique qui préserve ton corps du feu, ô Nadla »

   [Ici, Nadla entame le fil du récit]

   «L'Appel terminé, nous nous rendîmes auprès de la montagne et demandâmes [à la voix] :

   - Qui es-tu ? Dieu te fasse miséricorde ! Es tu un ange, un habitant d'entre les génies (djinns) ou encore l'un des serviteurs de Dieu ? Nous avons entendu ta voix, montre-toi donc à nous ! Nous sommes une délégation de Dieu, de Son Envoyé et de 'Umar fils de Khattâb. Alors la montagne s'ouvrit sur un personnage à la stature impressionnante (litt. : à la tête comme une meule), à la barbe et aux cheveux blancs et qui nous salua [ainsi] :

   - Que la paix soit sur vous, ainsi que la miséricorde de Dieu et Ses bénédictions !

   - Que la paix soit sur toi ainsi que la miséricorde de Dieu et Ses bénédictions ! répondîmes‑nous. Qui es‑tu donc ? Dieu te fasse miséricorde !

   - Je suis Zarnab, fils de Barthamila, le pieux serviteur et l'héritier de Jésus, fils de Marie, qui m'a établi sur cette montagne et a invoqué Dieu afin que j'y demeure jusqu'à sa descente des cieux. Il tuera le porc, brisera la croix et réfutera les propos que lui ont attribués les Chrétiens. J'ai manqué ma rencontre avec Muhammad, mais faites néanmoins parvenir mes salutations à 'Umar et dites‑lui : O 'Umar, acquitte‑toi [de ton dû] et rapproche‑toi [de Dieu], car l'échéance est proche. Et faites‑lui savoir que si ces moeurs apparaissent dans la communauté de Muhammad (sur lui Prière et Paix !) il vous faudra fuir, fuir... : lorsque les hommes se suffiront des hommes et les femmes de femmes, que les gens se targueront d'une généalogie qui n'est pas la leur et prétendront avoir d'autres alliés que leurs alliés réels [Mawâlî peut avoir le double sens de suzerain, ou de vassal], lorsque les vieillards ne feront plus miséricorde aux enfants et que les jeunes ne respecteront plus les vieillards, que le licite sera négligé et qu'il n'y aura personne pour l'ordonner, que l'illicite ne troublera plus et qu'il n'y aura personne pour l'interdire ; lorsque les savants apprendront en vue d'acquérir dinârs et dirhams, que les pluies seront estivales, et les enfants irrespectueux quand les hommes auront élevés ­les minarets, décoré le Coran, dressé de hauts édifices, suivi leurs passions, troqué leur religion contre ce bas monde, versé le sang à légère, rompu les liens du sang, vendu le pouvoir et mangé le produit de l'usure ; quand la richesse sera considérée comme un honneur quand l'homme sortant de chez lui verra venir à lui, pour le saluer, quelqu'un qui vaudra mieux que lui et quand les femmes monteront sur de larges selles.

   Puis l'homme disparut de notre vue. »

   Nadla rapporta à Sa'd ce récit, qui le rapporta à son tour à 'Umar. Celui‑ci envoya alors à Sa'd cet ordre écrit : « O Sa'd, ton père t'a conçu en vue de Dieu [formule laudative], pars en compagnie de ceux des Mecquois et des Médinois qui sont avec toi pour te rendre dans « cette montagne, et, si tu rencontres cet homme, transmets‑lui mon salut, car l'Envoyé de Dieu nous a informés de ce que certains des héritiers de 'Aïssâ (Jésus) fils de Marie s'étaient établis dans cette montagne du côté de l'Irak. »

 

Sa'd partit donc à la tête de quatre mille Mecquois et Médinois et se rendit dans cette montagne. Ils y demeurèrent quarante jours au cours desquels il faisait l'Appel [de la Prière] à chaque temps de prière, mais ces appels demeurèrent sans réponses. (Mâlik).

Conclusion : Si c'est homme reste et est resté dans ce lieu, ce sera un miracle manifeste du divin Créateur. Combien sont-ils parmi les compagnons du fils de Marie ? Dieu est plus Savant ! De même, peut-on établir un rapport, une relation avec ce Zarnab, fils de Barthamila et Barthélémy, l'un des Douze mentionné dans la Bible ? Dieu est plus Savant !

Mentionnons enfin que chaque prophète est venu, en son temps, avec quelque chose de la part de son Seigneur. A Adam, il fut donné les Noms (Coran II 31). Au fils de Marie, la Science des lettres alphabétiques. Leur valeur numérale. A ce sujet, on a dit

   "… Le Véridique nous a également fait connaître que l'origine de la vie dans les formes des êtres amenés à l'existence, est le souffle divin ; et ceci quand Il dit : "Lorsque je l'aurai façonné et que J'aurai soufflé en lui de Mon esprit » (Coran XV 29). Ce souffle est celui par lequel il fit vivifier et apparaître la foi... A Ichoua (sur lui la Paix !) fut donnée la Science de ce souffle divin et de ses relations. C'est ainsi qu'il soufflait dans les formes ensevelies au cimetière, ou dans la forme de l'oiseau qu'il façonna d'argile, et l'oiseau (Coran III 49 ; V 110) prenait vie par l'intermédiaire de la permission divine circulant dans ce souffle et dans cet air. Sans la circulation de cette permission divine en elle, aucune forme n'aurait jamais vie. C'est du souffle du Miséricordieux que provient à Ichoua (sur lui la Paix !) la Science de Ichoua (sur lui la Paix !). C'est ainsi qu'il vivifiait les morts par son souffle, en atteignant les formes où il soufflait…

   Ce genre de science a toujours dépassé les gens de l'Évangile. Pour eux, si le fils de Marie a pu faire ce qu'il a fait, c'est qu'il était lui-même Dieu et Son fils ! De ce fait, cette science a été toujours combattue par les gens de l'Evangile. Pourtant, on en trouve, plus ou moins,  la trace dans certains textes apocryphes. Elle est plus ou moins connue et admise au sein même du monde de la Thora. Les Cabalistes disent et prétendre avoir une certaine science à ce égard, à ce sujet. Mais ils s'en servent, comme les gens de sectes occultes, le plus souvent à des fins malfaisantes. Même au sein de la communauté soumise, il existe des gens qui apprécient que peu, ce genre de science. Et Dieu est plus Savant ! Au prophète Mohammad (sur lui Prière et Paix !) fut donné les paroles concises.

   Dans « Paul, un regard juif sur l’Apôtre des Gentils », Schalom Ben-Chorin d’écrire : « Il faut remarquer en outre que Klausner, au cours des années qu’il passa à Jérusalem, allait se rapprocher du monde islamique, apprendre à mieux connaître le Coran grâce à ses contacts amicaux avec des collègues arabisants de l’Université Hébraïque, et se faire ainsi une nouvelle idée de la personnalité de Mahomet, épileptique et visionnaire qui avait changé l’histoire du monde... »

Dans la Revue Spirite, une étude n’a-t-elle pas été faites concernant « Mohammed, médium prophète » ! (1999. 1, rue du Dr. Fournier 37000 Tours), etc.

[8] dit de l'Orient. Bien que pour nous, ils soient des gens du Sud-Est de la France métropolitaine. Les gens de l'Orient sont plutôt les gens de la Russie jusqu'à la Chine. 2. Il est une habitude ancienne, chez certaines gens de cette partie du monde, d'enterrer le mort avec différents objets. Ex.: de l'Egypte ancienne avec ses Pharaons. Dans le monde évangélique, n'enterre-t-on pas généralement le mort avec ses plus beaux habits, ses chaussures, parfois certains de ses bijoux : alliance, etc. ? 3. Sous le règne d'Omar fils de Khattab (que Dieu l'agrée !), on a fait mention de la découverte, en Irak, de la tombe de Daniel (sur lui la Paix !). Près de son corps fut découvert un livre. Notons au passage, que les corps des prophètes, des messagers, des gens de bien, des martyrs pour la foi ne connaissent pas la décomposition.

[9] Pour plus de détails encore sur cet Évangile, voir l'ouvrage "Destruction or Peace". p. 162-170, etc.

[10] Il embrassa l'Islam.

[11] Texte apocryphe pour les gens de l’Évangile. (V. Trad. Luigi Cirillo et Michel Frémaux. Edit. Beauchesne. 7 cité du Cardinal Lemoine. 75005 Paris )


BIOGRAPHIE DE L’EVANGILE DE BARNABE N°4 :

Source :

http://www.alterinfo.net/Qui-est-Allah-!!_a34126.html

Introduction :

ALLAH-ALLAHA-ELOAH (Eclaircissement sur la prononciation de Dieu par Jésus)

Ribaat : A partir du moment où Jésus (paix sur lui) ne parlait bien sur ni le français, ni l’anglais, il est facile de conclure qu’il disait Allaha (en arabe Allah) pour désigner le Créateur Unique de tous chose, voici un texte qui vous le prouvera, citation :

Contrairement aux langues latines, l'arabe, l'araméen et l'hébreu, qui sont des langues sémitiques, s'appuient sur un abjad, càd sur une écriture où les mots ne sont composés que de consonnes, les voyelles n'étant illustrées que grâce à des signes diacritiques (qui s'installent au-dessus ou au-dessous des lettres auxquelles ils sont associés). Les mots y sont souvent issus de racines trilitères (composés de trois lettres), qui sont parafés de signes diacritiques qui changent d'emplacement (sur ou sous la lettre) selon l'emplacement du mot lui-même dans la phrase (et le rôle qu'il y joue), ce qui par conséquence influe sur la prononciation consonantique du mot, sans bien entendu en changer le sens étymologique. Aussi, entre Allah et Allaha il n'y a aucune différence. La racine est la même, à savoir : Alef + Lam + Ha'e (A+L+H).

6 Allah en araméen, hébreux

Le terme hébraïque Eloah il suffirait à peine de lui modifier les signes diacritiques de ses trois premières lettres, sans avoir à toucher aucunement à sa structure alphabétique, pour que l'on puisse le lire : Allah.

 

7 Eloah - Allah

L'hébreu, comme l'arabe et l'araméen, se lit de droite à gauche. Dans la Figure A, le deuxième Alef (3ème lettre), de couleur marron, joue le rôle d'une consonne complète, le coup de glotte, incorporant lui même la voyelle a, qui en étend la prononciation, et qui lui donne le son prolongé "A". Dans la Figure B, le deuxième Alef (toujours, 3ème lettre), de couleur bleue, joue le rôle d'une semi-consonne, devenant par ce une longue voyelle, qui étend la lettre précédente, "L" (lamed), qui porte déjà la voyelle "a" ainsi qu'un signe diacritique de gémination qui dédouble la lettre elle-même; ce qui donne comme son "LLâ". Dans le mot Allaha, la gémination du L est tacite, et le dernier Alef, de couleur marron, joue le rôle d'une demi-consonne, devenant par ce la voyelle "a".

Alors que la forme arabe et araméenne sont concordantes, cette petite variation de la phonétique (et non de la lettre) dans la forme hébraïque pourrait éventuellement être née d'un barbarisme de prononciation survenu chez les hébreux lors de la récupération de ce Nom de chez les peuplades araméennes de Palestine. Ce phénomène survient souvent chez les émigrants s'installant dans un nouveau pays.

En Arabe, selon l'emplacement du terme Allah dans la phrase, celui-ci peut changer de terminaison (signe diacritique final), pour finir par être lu : Allaha, Allahou, Allahi.

Cela est également valable pour le terme Allaha dans la langue araméenne. 

Jésus, et les juifs de la Palestine araméenne, durent eux aussi employé le terme Allah.

Extrait du texte : « ALLAH EST-CE UN NOM SI ETRANGER ? »


BIOGRAPHIE DE L’EVANGILE DE BARNABE N°5 :



07/11/2011
0 Poster un commentaire

A découvrir aussi


Ces blogs de Religion & Croyances pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 8 autres membres