ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

genealogie des familles marocaines

Idrisside (descendants de Moulay Idriss) Les Alami : famille Idrisside (descendants directs du petit-fils du Prophète mohammed, Al Hassan),viennent de jabal al Alam ou se trouve le mausolée d'un des plus grands saint du maroc Abdeslam Ben Mchich Alami. Il fut un des plus grands précurseurs du taçawwouf(soufisme), son nom se trouve définitivement lié a la Quaraouiyine. Cette famille est issue de la lignée de Ali Haïdara fils de Muhammad ben Idris, fils aîné de Idriss II. Le premier à quitter Fès pour le pays Jbala est le prince Ahmed Mezouar, son tombeau est encore visible dans le nid d'aigle de Hajarat Chorfa. C'est sur la demande des Beni Arouss voisins que Mezouar à envoyer son fils Sellam honorer par sa qualité de Cherif et par ses vertus cette tribu. Il s'installa près de Majmoula où il fut plus tard inhumé et laissa comme descendants Aïssa (enterré à Bouâmer), père de Horma (enterré à Imjazliyin), père de Ali (enterré à Oued Khmis Beni Aross), père d'Abou Bakr(enterré à Aïn Hadid) ancêtre de tous les Alamiyin. Il eut cinq fils: Ali: Ancêtre des Akhrif, Zerrouq. Younès: Ancêtre des Ben Rahmoun, Ben Raïssoun, Mouedden, Mrassou. Ahmed: Ancêtre des Qasri. Mohamed, dit Melha: Père des Haddad. Mchich: Père de trois enfants mâles qui laissèrent chacun de nombreux descendants: Yamlah: Ancêtre des Ouazzani, Ben Yaâcoub, Lehyani. Moussa: Ancêtre des Harraq, Chefchaouni, Hawwat. Moulay Abdeslam Ben Mchich. Adulés par les tribus du pays Jbala et du Habt pour la stature de leurs ancêtres leur mysticisme, leur science et leur esprit du Jihad (notamment avec les Beni Rachid, fondateurs de Chefchaouen et les Beni Raïssoun, héroïque à la bataille de Oued El Makhazine). Honorés par les sultans qui les exemptèrent des redevances habituellement imposéesaux tribus, les Alami furent invités depuis le règne Saadien Ahmed al-Mansur Saadi à percevoir une fois l'an, sur une durée d'un mois, les dons attribués à leur ancêtre Idris II. Ils continuèrent leur belle ascension sous le règne des Alaouites qui les dotèrent de plusieurs égards monarchiques: Dahirs de Respect et de Considération, généreuses offrandes au sanctuaire Moulay Abdeslam Ben Mchich, attesation de sacralité du Horm Alami. Installé aux quatre coins du Royaume, notamment à Fès et Tétouan, les Alami ne cessèrent de fournir au pays d'illustres personnalités à travers les siècles: Mohamed Ben Tayyeb Alami, brillant littérateur et poète auteur de plusieurs ouvrages, né à Fès, mort au Caire en 1134/1721 sur sa route de pèlerinage aux Lieux Saints. Abdeslam Alami (mort 1313/1895) médecin, astronome et mathématicien à Fès. Sidi Qaddour Alami (mort 1266/1850), Soufi et poète du Melhoun de grande renommée dans la cité ismaélienne (Meknès). Les Amrani Joutey : descendants du wali nommé Ahmed Al Shabih et connus par le patronyme de Shabihiyyin, ils ont été depuis 1730, les principaux naqibs du sanctuaire de Moulay Idriss Zerhoun, cette famille a donné de nombreux hommes d'affaires comme l'ancien premier ministre Mohamed Karim Lamrani et Moulay ali lamrani et son frère hafid qui ont fait leurs carrières respectivement dans le plastique et la confection. Les Debbarh ou Debbagh : Issue de Aïssa ben Idris II gouverneur de Salé, ils auraient quitté la ville pour Grenade sous le règne des Almoravides. Il a fallu attendre le début des Mérinides pour qu'ils reviennent à Salé avant de la quitter définitivement pour Fès. Connue par leur grand nombre de Mystique, ils ont donné un nombre important de soufi le plus célèbre est Abd-el-Aziz Debbagh. A noté que certaines familles portant le nom Debbargh ne sont pas Idrissides. Les Kettani : Ils sont affilés à leur ancêtre l'émir Yahya ben al-Qasim (Yahya III), surnommé al-Kattani, petit-fils de Moulay Idriss ibn Idriss. Les Ouazzanis : descendants de Moulay Abdellah Charif El Ouazzani El Hassani, fondateur de la ville d’Ouazzane et de sa confrérie. La confrérie Ouazzanie a assumé ce statut, d’abord, à l’intérieure du sultanat chérifien, en jouant le rôle de médiatrice et de propagatrice du pouvoir en place. Elle l’a assumé, ensuite, dans les jeux politiques supra-sultaniens, en défendant la bourgoisie marocaine dans le conflit de « classes » de la ville de Tlemcen, contre les militaires, les Couloughlis turcs, et en soutenant le pouvoir sultanien dans sa lutte d’influence contre le pouvoir turc, et pendant la résistance étatique de l’émir Abd el-Kader contre la France. Aujourd’hui la famille Ouazzanis est présente dans plusieurs villes (Safi, Fès, Rabat, Tanger, Casablanca). Les Rahmouni : Affiliés à la tribu des Ouled Ben Rahmoun Alami Descendant de Moulay Driss II(idrīs II ben Idris Ier ben abd allah ben al-hasan ben Ali),ils sont également localisés dans le jabal al Alam prés de Tétouan une autre fraction réside à Marrakech, une autre à Tlemcen et Tunis. A noté que seuls certaines familles Rahmouni sont Idrissides, les autres familles Rahmouni sont issus de la tribu des Rhamna. Non Idrisside Les non-Idrisside sont : Les Alaoui : appartenant à une plus grande branche dite des Mohamediyyin, ils descendent de Hassan. Contrairement aux autres grandes familles, ils habitaient Fès Jdid, construit par les Mérinides près de la Cour royale. Descendant de Mohamed Nefz Zakia, frère d'Idris Ier ils s'établirent dans la région de Yanboô au Hijaz suite à la mort de ce dernier. Quelques siècles plus tard Hassan surnommée Al-Dakhil arriva à Sijilmassa, qui est devenue le fief des Alaoui et ou la Dynastie des Alaouides à vu le jour. Les Kadiri : descendants de Hassan. Une fois Bagdad envahie par les Tatars en 1258, le grand maître soufi Abdelkader Ben Jilani émigre à Médine, puis à Grenade. Deux siècles plus tard, un de ses descendants, Abou Abdellah Mohamed, arrive à Fès. Familles de Chorfas Housaïniyyines Les Chorfas housaïniyyines sont les descendants d'al-Husayn ben Ali et de son fils Ali Zayn al-Abidin. Ce dernier est l'unique survivant lors de la bataille de Kerbala où al-Husayn ben Ali et tous ses autres fils et partisans ont été massacrés par l'armée Omeyyade. Les Iraqi (ou Laraki) : Famille de Chorfas houssaïniyyines originaire d'Irak. De la lignée de Ismaïl fils de Ibrahim al Mujab fils de Musa al-Kazim fils de Jafar as-Sadiq fils de Muhammad al-Baqir fils de Ali Zayn al-Abidin fils de Husayn ben Ali. L'ancêtre de la famille Iraqi, Mohamed Al Hadi Ibn Abi Al Qasim Ibn Nafis, est arrivé d'Irak à Fès à l'époque du Sultan Mérinide Abu Said Uthman après avoir vécu quelque temps en Égypte. Les Sqalli : Famille de Chorfas houssaïniyyines ayant vécu en Sicile puis, après la reconquête chrétienne de ce territoire, en Andalousie. De nouveau la reconquista les oblige à quitter l'Andalousie pour venir s'installer à Fès. Les Tahiri Sqalli : branche de la famille Sqalli. Les Mseffer : les Mseffer seraient issus de la lignée de Mohamed ben Husayn ben Ali. Arrivés au Maroc sous le règne Almohade, l'un des leurs serait probablement le philosophe du règne almohade Abou-l-hassan Mseffer de la ville de Sebta. Mais c'est particulièrement à Fès que les Mseffer atteignirent leur belle renommée et y adoptèrent leur patronyme en référence au métier de relieur de livre pratiqué par leur ancêtre, Ahmed Ben Mohamed, dit Mseffer. Ces familles sont les seules familles de Chorfas housaïniyyines à Fès et dans tout le Maroc. Toutes les autres familles de chorfas sont des hassaniyyines. La plupart des Chorfas housaïniyyines vivent en Irak et en Iran. Les autres grandes familles de Fès Les autres grandes familles de Fès sont (cette liste n'est pas exhaustive) : Les Abdellaoui Maane : Famille de scientifique et des Ollamas, d’origine de Séville à l’Andalousie, Descendants de la dynastie des Rois Almohades (Rois du Nord Africain et de l’Andalousie) et des fils des derniers gouverneurs de l'Andalousie et plus précisément du Cheikh Mohammed Benabdellah maane Al-Andaloussi (XVIIe siècle),il fut un grand savant qui a pu garder l’héritage du soufisme dans sa dynastie pendant trois générations. Leur zaouia et leur résidence se trouvent à hawmate Almakhfia et leur cimetière «Gbeb» se trouve à Babftouh en haut du relief où il y a le mausolée de sidi Mohamed Benabdellah et son fils Abu Al Abbas avec leurs descendants. Les Abitbol : Famille de confession juive, Abitbol est celui qui a un tambour en arabe. Ce nom désigne le nom du joueur de cet instrument. Les Aouad : Famille d'origine arabe appartenant aux bédouins de Béni Hilal, c'est à partir de Doukkala que les Awawda s'établirent à Fès et Salé. D'un côté ils s'illustrèrent par l'artisanat le commerce et le mysticisme et de l'autre par leurs activités liés à la guerre et de la construction navale. Les Aouad donnèrent leur nom à une mosquée à l'interieur de la médina et ou se trouve le sanctuaire du mystique Sidi El Aouad. Les Attias : Famille appartenant à la bourgeoisie juive et travaillant pour la famille royale. Le grand-père était le tailleur de Mohammed V, l'oncle vendait des produits de luxe au Palais. Les Benamour : Famille d'origine andalouse. Les Benchekroun : Famille d’origine juive et andalouse, ils se sont convertis à l’islam, sur incitation des Almohades. Cette famille portait le nom de Chokron avant sa conversion à l'islam. Le nom de Chokron est très répandu aujourd'hui en Israel et en France et aux Etats-Unis. Nombreux juifs dans ces pays portent ce nom. Les Benchetrit : Famille juive d'origine andalouse. Les Benjelloun : d’origine arabe, ils ont été cooptés par le Makhzen après que Talib Benjelloun (mort en 1842), initialement chef de la caravane de Fès, ait servi de conseiller intime et ministre des Finances. Les Benkirane : Famille d'origine arabe ou juive (selon les versions) qui s'est converti à l'Islam. Ils étaient connus à Fès pour être des vendeurs d'esclaves et de viande séchée. Les Benlahmar : Descendants des Banou Al Ahmar ou nasrides, derniers Rois de ce qui restait de l'Espagne musulmane (Grenade) et batisseurs du magnifique palais de l'Alhambra. Le dernier roi nasride se réfugia à Fès avec sa famille après la perte de son royaume (1492). Les Bennis : d’origine arabe ou Hébraïque (selon les versions), ils ont la double casquette de commerçants et de famille makhzénienne. En 1873, un certain El Madani, ministre des Finances a provoqué une grève de tanneurs après avoir voulu imposer le marché des peaux. Les Bensouda: arabe de souche, famille de scientifique qui a beaucoup marqué le XVIIIe siècle. Ils font partis de la tribu de Quraych et plus précisemment de la branche Mourra de la mecque. Dits initialement Ibn Saouda, référant à la nature du sol, une surface plate pierreuse. Il est attribué à plusieurs tribus arabes dont les Béni Mourra au Yémen où le nom des Sawda était d’ailleurs donné à l’antique ville de Nashan. Les Bensouda sont dits Mourri Andaloussi Gharnati. Les Berrada : Selon les versions, ils seraient d'origine andalouse, arabes (du fleuve Barada à Damas), berbère (de la tribu beni Yazgha). Connue comme étant des commerçants de l'ancienne médina de Fès. Les Chraïbi : Famille aux diverses ramifications, connus pour être très actif dans le monde du négoce, de l'artisanat et du savoir. Certaines branches de la famille ont quitté Fès pour Casablanca, Marrakech, Rabat ou encore El Jadida. L'écrivain Driss Chraibi est issu de cette famille. Les El Fassi-Fihri : D'origine arabe, issu de la tribu mécquoise des Béni Fihr, ils descendent du célèbre conquérant musulman Oqba Ibn Nafi Al Fihri fondateur de la ville de Kairouan, ils constituent une grande famille de doctes lettrés qui ont même une confrérie. Leur travail aux services du Sultan commence sous Moulay Ismail, qui nomme deux frères et un cousin à des postes clé de la hiérarchie administrative. Une des plus célèbre femme de cette famille est Oum Al Banine (mère des deux fils) Fatima Al Fihriya qui est à l'origine de la fondation de la première université au monde Quaraouiyine. Les El Kohen : Famille d’origine juif qui a accédé à la demande des Almohades de se convertir, mais a eu le courage de ne pas changer de nom. Les Esmili ou Smili: Famille d'ascendance arabe de lettrés. Ils ont aussi été actifs à Fès dans le commerce de l'Or. D'origine andalou, leur plus célèbre ancêtre marocain est le linguiste renommé Taieb Esmili El Cherki El Fassi enterré à Médine. La Famille Esmili, bien qu'étant affilié au clan quraïchite Bani Sabee Bani Sumayl, d'où provient leur nom, existe aussi au Liban et en Syrie où elle est particulièrement étendue. Les Guessous : d’origine arabe, ils sont surtout des lettrés. Le cas du alem Abdeslam exécuté par Moulay Ismaïl pour avoir soutenu la population qui refusait l’annexion de l’armée des esclaves les a rendus célèbres. Les Hjyej: D'origine du Cham(Syrie). À Fès une petite ruelle à Talaa porte leur nom. On retrouve également cette famille au Liban et en Tunisie. La majorité des Hjyej ont quittés Fés pour Casablanca. Les Hraïchi (ou Lahrichi): Une famille ancienne de la ville de Fès, une famille aux ramifications étendues. Leur origine provient de la tribu arabe Beni Harich ben Wahab ben Rabiâ ben Amer ben Saâsaâ ben Qaïs dont la filiation est rattachée à Adnane, considéré par la tradition comme l'ancêtre des Arabes du Nord. Une tribu qui résidait à Bassorah avant d'essaimer dans différentes régions du monde arabo-musulman depuis les premiers temps de la conquête. Une des personnes éminente de cette famille est le grand savant malikite Ali ben Ahmed Hraïchi, auteur de plusieurs ouvrages mort vers 1145/1732 à Médine et dont les deux fils se distinguèrent pareillement comme théologiens de renom. Les Kabbaj ou Qabbaj : Il existe deux origines de cette famille: Les Qabbaj sont de souche arabe hijazienne, installés à Fès au XIIe siècle, sous le règne des Almohades à partir de la Turquie via la Tunisie. Les kabbaj sont originaire d'andalousie, plus spécifiquement de la ville d'Alcobaca (prononcé alcobbasha) sur la Costa Prata, non loin de la ville universitaire de Coimbras. Aujourd'hui sous la tutelle de l'Unesco, car la ville a toute une histoire mytologique. Cette cité est célébre grâce à l'histoire de sa princesse Donna Castro et à son courtisan Don Pedro. L'histoire n'est pas encore toute dites puisque le nom de la Ville est bien formée de deux rivières qui la travèrse : la rivière Alco est la rivière Baca (prononcé Basha). D'où le nom Alcobasha. L'emmigration de cette famille au Maroc au XVIIe siècle reste une grande énigme, mais beaucoup d'historiens s'accordent à dire que se départ précipité fais suite à la reconquista. Les derniers siècles modifièrent la phonétique du nom Alcobbasha, puisque au Maroc cette même famille d'origine juive (aujourd'hui convertis majoritèrement à l'islam) se nomme désormais ElKabbaj et kabbaj pour sa variante musulmane et Elkabbach, Elkabetz pour sa variante hebraïque. Les Lahbabi : Famille andalouse, arrivé à Fès suite à la reconquista. Les Lahlou : Il existe trois origines à cette famille, Les Lahlou: Famille de souche berbère appartenant à la dynastie Wattassides. Rangé parmi les berbères Zénata, de la branche des Beni Merine, ils seraient selon une autre version fournie par l'histographe Adelouahab Benmansour, issus du clan sanhajien des Lemtouna, de la descendance du grand chef Almoravide Youssef Ibn Tachfin. À l'avènement des Almohades, un de leur ancêtre aurait rejoint les Mérinides dans le Zab (sud algérien et tunisien). Le vizir Yahya ben Yahya Wattassi aurait atteint un tel pouvoir que le sultant Mérinide Abd-el-Haqq Merini le fit emprisonné et assassina toute sa famille sauf les deux frères du vizir Mohamed Lahlou et Mohamed Cheïkh qui s'enfuirent dans le désert. Lorsque ce dernier fonde la dynastie des Wattasides il appella son frère pour prendre les fonctions de vizirs c'est d'ailleurs lui l'ancêtre eponyme de la famille Lahlou. Famille originaire d'Andalousie, de cordoue, leurs ancêtres de confession juive se sont convertis de force à l'islam durant l'invasion musulmane de l'espagne, l'on denombre par ailleurs deux petites branches de cette famille, l'une de confession chretienne et l'autre juive, vivant principalement en israël, il existe cependant des branches de cette famille, Lahlou mimi, Lahlou kitane, Lahlou torrès.... Les Al Lahlou Chorfas Oudghiri. Les Lazrak : Ce sont des Arabes originaires de Séville en Andalousie,leurs ancetres habitaient au pays de Cham ( Syrie actuellement )et sont arrivés en masse en Andalousie après la fondation de la 2eme dynastie des Omeyyades par le Khalifa Abderrahman 1 er dit Addakhil en 755 , ils vinrent à Fès après la reconquista, au 16 eme siécle. Leur nom signifie "de couleur bleue". Ils ont introduit l'imprimerie lithographique au Maroc en 1871 , par un certain Tayyeb Ben Mohamed Lazrak en provenance d'Egypte au lieu dit Zankat al Barqouqa, ainsi la famille Lazrak qui s'était spécialisée dans la technique de l'imprimerie a produit à la fin du 19 eme siècle près de 40 ouvrages. Les Mansano : Originaire de salamanque, Ce nom signifie "petite pomme" en espagnol. Les Mikou : Famille venue d'Andalousie de la ville d'Alméria suite à la guerre des "Taouef". Les Mrini : Nomades bérbères Zenata de la branche des béni Faten, les Beni Marines sont issus de la descendance Madghis Abter. Des généalogistes leur attribuent une origine arabe de la descendance de Nezar Ibn Maâd. Selon cette thèse, ils se seraient installés en Afrique du Nord après leur éviction de la Palestine, lors de la défaite de Goliath contre David. Quoi qui'il en soit de leur origine, les Zenata dont les moeurs étaient effectivement très proche de celle des Arabes, étaient des nomades cavaliers et chasseurs guerriers émérites, ne paratiquant ni agriculture ni commerce. Supplantant peu à peu les Almohades, ils réussirent à imposer leur propres dynastie celle des Mérinides. À ne pas confondre avec les chorfas Idrisside Mrini qui sont une branche des Jouti. Les Raïs : Famille d'origine Andalouse. Les Rizzolo : Famille d'origine andalouse, de confession juive. Les Sebti : Le nom Sebti est un nom toponyme renvoyant à la ville de Sebta, elle peut être porté par des familles ayant vécu à un moment ou un autre dans cette ville, ce qui explique la diversité des origines des familles portant ce nom. Une des familles les plus connus portant ce nom serait d’origine arabe, installés à Sebta et à Fès puis à Casablanca, ils figuraient parmi les plus grands commerçants de la célèbre Route de Médiouna, ils ont construit leur fortune que durant la 2e Guerre Mondiale. Ils ont alors écoulé sur le marché à des prix exorbitants des produits alimentaires et des tissus qu’ils avaient en réserve. Les Slaoui : Le nom Slaoui est un nom toponyme renvoyant à la ville de Salé, elle peut être porté par des familles ayant vécu à un moment ou un autre dans cette ville, ce qui explique la diversité des origines des familles portant ce nom. Les Tazi : Le nom Tazi est un nom toponyme renvoyant à la ville de Taza (ville fondée par la branche des Meknassa issue de la grande tribu des Zénète), elle peut être porté par des familles ayant vécu à un moment ou un autre dans cette ville, ce qui explique la diversité des origines des familles portant ce nom. Les Toledano : Famille de confession juive megorashim originaire de Tolède (andalousie), installée à Fès suite aux décrets d'Isabelle la catholique sommant les juifs soit à la conversion soit à la mort.


24/01/2011
4 Poster un commentaire
Ces blogs de Religion & Croyances pourraient vous intéresser

Inscrivez-vous au blog

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 8 autres membres