ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

Oum Kalthoum Bint 'Okba une femme véridique qui a émigrée pour la cause d’Allah

Allah (ta‘ala) a dit :

 

يَا أَيُّهَا الَّذِينَ آمَنُوا إِذَا جَاءكُمُ الْمُؤْمِنَاتُ مُهَاجِرَاتٍ فَامْتَحِنُوهُنَّ اللَّهُ أَعْلَمُ بِإِيمَانِهِنَّ فَإِنْ عَلِمْتُمُوهُنَّ مُؤْمِنَاتٍ فَلَا تَرْجِعُوهُنَّ إِلَى الْكُفَّارِ لَا هُنَّ حِلٌّ لَّهُمْ وَلَا هُمْ يَحِلُّونَ لَهُنَّ وَآتُوهُم مَّا أَنفَقُوا وَلَا جُنَاحَ عَلَيْكُمْ أَن تَنكِحُوهُنَّ إِذَا آتَيْتُمُوهُنَّ أُجُورَهُنَّ وَلَا تُمْسِكُوا بِعِصَمِ الْكَوَافِرِ وَاسْأَلُوا مَا أَنفَقْتُمْ وَلْيَسْأَلُوا مَا أَنفَقُوا ذَلِكُمْ حُكْمُ اللَّهِ يَحْكُمُ بَيْنَكُمْ وَاللَّهُ عَلِيمٌ حَكِيمٌ

 

« Ô vous qui avez cru! Quand les croyantes viennent à vous en émigrées, éprouvez-les; Allah connaît mieux leur foi; si vous constatez qu´elles sont croyantes, ne les renvoyez pas aux mécréants. Elles ne sont pas licites [en tant qu´épouses] pour eux, et eux non plus ne sont pas licites [en tant qu´époux] pour elles. Et rendez-leur ce qu´ils ont dépensé (comme mahr). Il ne vous sera fait aucun grief en vous mariant avec elles quand vous leur aurez donné leur mahr. Et ne gardez pas de liens conjugaux avec les mécréantes. Réclamez ce que vous avez dépensé et que (les mécréants) aussi réclament ce qu´ils ont dépensé. Tel est le jugement d´Allah par lequel Il juge entre vous, et Allah est Omniscient et Sage. » [Sourate 60 : Verset 10]

 

 Il s’agit de Oum Kalthoum Bint ‘Oqbah Ibn Abi Mou‘it Ibn Abou ‘Amr Ibn Oumayya Ibn ‘Abd Chams Ibn ‘Abd Manaf (radiya Allahou ‘anha).

 

Elle fait partie des premières femmes qui ont émigré après s’être converties à l’Islam à la Mecque. Sa mère était ‘Arwa Bint Kariz Ibn Zamaa Ibn ‘Abd Chams al-Qouraychi.[1]

 

Les historiens disent qu’ils n’avaient pas connaissance d’une « autre Qouraychite qui soit sortie avec les immigrés, sans ses parents, à part Oum Kelthoum Bint ‘Okba (radiya Allahou ‘anha). »..[2]

 

Devenue musulmane, Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha) avait peur pour sa foi et elle demanda la protection du Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) et elle partit avec les autres musulmans à Médine ne cherchant ni mari ni fortune. Tout ce qu’elle voulait c’était garder sa nouvelle foi et fuir ses ennemis.

 

A la Mecque, elle vivait parmi les incrédules (moushrikin) et elle, comme toute femme dans la société, est affaiblie par le fait qu’elle n’avait ni époux, ni enfant pour la protéger des attaques des païens.

 

Allah (ta‘ala) demanda à Son Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) de lui faire passer une épreuve pour s’assurer de la sincérité de sa foi.

 

Reprenons l’histoire à son début.

 

Le jour de Houdaybiyya :

 

Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) voulait repartir à la Mecque, non pas en conquérant, mais il voulait visiter la Ka‘ba pour y accomplir le petit pèlerinage (‘Omra) et il ne demanda aux musulmans de l’accompagner que pour ne pas se faire attaquer par les Mecquois, ou qu’ils l’empêchent d’entrer dans le saint édifice d’Ibrahim (‘aleyhi salam). Les bédouins ne furent pas très enthousiastes pour y aller et lui dirent : « Iras-tu chez des gens qui t’ont combattu dans ta ville et qui ont tué tes compagnons ? ».

 

Ils trouvèrent des excuses comme de dire que leurs affaires commerciales et familiales les empêchent d’y aller maintenant avec lui. Alors, le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) s’en alla avec un groupe de Mouhadjirs et des Ansars et quelques autres tribus. Ils partirent sans prendre d’armes, à part leurs épées dans leurs fourreaux.

 

Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) prit avec lui ce qu’il devait offrir à Allah dans la Ka‘ba et il fit l’Ihram du petit pèlerinage pour rassurer les Mecquois sur ses intentions réelles.

 

Alors qu’il était en route, les Qouraychites eurent vent de son avancée et ils sortirent à sa rencontre en se jurant que Mouhammad (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) ne mettrait jamais les pieds dans leur ville. Bichr Ibn Soufiyan dit au Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) : « Les gens de Qouraych ont entendu parler de ton voyage et ils sont venu à ta rencontre, harnachés pour le combat. Ils sont dans la vallée de la Mecque. ».

 

Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) lui répondit : « Quel malheur pour les habitants de la Mecque ! Les guerres les ont dévorés. Pourquoi ne veulent-ils pas que je rencontre les autres tribus arabes ? Si celles-ci acceptent mon message, ils entreront eux-aussi en Islam sans guerre et si les tribus préfèrent rester sur leurs croyances, ils me combattront tous avec plus de force. Mais que croit Quouraych ? Par Allah, je ne laisserai pas tomber ce pour quoi Allah m’a envoyé jusqu’à ce qu’il triomphe ou que je meurs ! ».

 

Puis il demande s’il y avait un homme parmi ses compagnons qui pourrait les mener par un autre chemin pour éviter la rencontre.[3] Ils prirent un chemin difficile, mais ils finirent par en sortir. Cependant, Qouraych virent de loin la poussière soulevée par les montures et ils comprirent qu’ils n’avaient aucune chance de lui barrer le chemin. Ils décidèrent de revenir vite vers la Mecque.

 

Arrivé à un point nommé Houdaybiyya, la chamelle du Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) s’arrêta et refusa d’avancer plus loin. Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) comprit que la chamelle agissait par ordre d’Allah (ta‘ala) et il (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) dit : « Elle a été arrêtée par Celui qui avait stoppé l’avancée des éléphants sur la Mecque. Et si Qouraych me proposait un accord qui rétablirait les relations des membres de la tribu, j’accepterai. ». C’étais cela le message qu’avait compris le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam).

 

Il attendit donc à cet endroit que Qouraych lui fasse parvenir ses volontés, ne sachant cependant pas si c’est un bien ou un mal. Des compagnons lui dirent : « Ô Prophète d’Allah (salla Allahou ‘aleyhi wa salam), les Qouraych sont rusés et nous veulent encore du mal et la plupart d’entre eux nous tiennent rigueur. Mais s’ils complotent contre nous, nous avons confiance en Allah qui est meilleur comploteur qu’eux. ».

 

Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) se tut un moment er réfléchis. Puis il (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) demanda à ‘Omar d’aller à la Mecque pour leur expliquer qu’il ne voulait rien d’autre qu’accomplir le petit pèlerinage : « Va vers eux, tu es sage et raisonnable. Tu sauras quoi leur dire. ».

 

‘Omar (radiya Allahou ‘anhou) eut une petite hésitation : « Je ne leur fais pas confiance, et j’ai peur qu’ils ne me tuent. Il n’y en a pas un seul qui ne me veuille du mal. Je n’ai plus personne à la Mecque de ma famille mour me protéger en cas d’attaque. ‘Othman (radiya Allahou ‘anhou), par contre y a encore sa famille de Bani Oumayya ; Abou Soufiyan et Aban Ibn Sa‘id ke protégeront sûrement. »[4].

 

Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) fit appeler ‘Othman (radiya Allahou ‘anhou) et l’envoya avec le message qu’il voulait faire parvenir à la tribu de Qouraych : il ne voulait pas la guerre, mais visiter le saint temple d’Ibrahim (‘aleyhi salam).

‘Othman (radiya Allahou ‘anhou) alla donc à la Mecque, mais rien n’y fit : Qouraych refusait de laisser passer Mouhammad (salla Allahou ‘aleyhi wa salam). Ils proposèrent à ‘Othman de faire le Tawâf s’il voulait, tout seul. Mais ‘Othman (radiya Allahou ‘anhou) refusa l’offre.

 

Des nouvelles arrivèrent au campement du Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) qui disent que ‘Othman (radiya Allahou ‘anhou) avait été tué. Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) se fit prêter serment par ses compagnons (radiya Allahou ‘anhoum ajma‘in) sous l’arbre pour se venger de la mort de ‘Othman (radiya Allahou ‘anhou). Mais vite, d’autres nouvelles contradictoires arrivèrent : ‘Othman (radiya Allahou ‘anhou) était bel et bien en vie et même Qouraych demandait la trêve.

Qouraych envoya Souhayl Ibn ‘Amrou au Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) pour négocier la trêve. Les termes furent bientôt acceptés par les deux parties et le texte de la convention fut écrit ainsi : « Au nom d’Allah ; voici ce dont ont convenu Mouhammad Ibn ‘AbdAllah (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) et Souhayl Ibn ‘Amrou :

 

- Il n’y aura pas de guerre entre les deux parties pendant dix ans.

 

- Les gens ne doivent pas s’attaquer mutuellement.

 

- Mouhammad (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) doit renvoyer à la Mecque tout esclave qui viendrait à lui sans l’accord de son maître. Ceux qui reviendront à la Mecque parmi les compagnons de Mouhammad (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) ne lui seront pas renvoyés.

 

- Aucune partie ne volera ni ne trahira l’autre.

 

- Celui qui veut entrer dans la religion de Mouhammad (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) est libre de le faire, et celui qui veut entrer dans la religion des Qouraychites est libre de le faire. ».[5]

 

C’était le texte de la trêve de Houdaybiyya. Nous voulions le donner en entier car son frère qui lui rapportait le contenu de l’accord, disait aussi, que c’étais une victoire des Qouayrachites et qu’ils ont imposé un accord injuste au Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam). Comment en effet accepter que Mouhammad (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) renvoie chez lui un homme qui veut entrer dans la nouvelle religion, alors que celui qui quitte l’Islam pour retrouver son paganisme était reçu par les Qouraychites à bras ouvert et n’est pas renvoyé au Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) ?!

 

Les gens étaient réellement indignés, mais le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) savait qu’Allah (ta‘ala) le soutenait et le protégeait.

 

Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha), en entendant tout cela, baissa la tête et s’évada par l’esprit.

 

Elle venait de décider qu’elle partirait rejoindre le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) à Médine, malgré la clause de l’accord qui obligeait le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam)  à la renvoyer chez elle. Mais elle souffrait trop de vivre avec les païens et elle demanda à Allah de l’aider et de la guider vers ce qu’il y avait de mieux à faire. Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam)  se devait de respecter toute les clauses car il ne pouvait pas mettre sa parole en doute en la trahissant. Quand le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam)  promet, il tient parole. Cela faisait partie de son message.

 

Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha) vivait sa souffrance seule car elle cachait sa foi à sa famille. Son seul réconfort était de lire les versets écrits sur les feuilles de palmier.

Mais sa volonté d’émigrer se renforçait chaque jour et elle voulut trouver quelqu’un pour l’accompagner pendant le voyage car elle avait peur de rencontrer les Qouraych en route, mais il fallait quelqu’un qui ne divulgue pas son secret, sinon elle risque beaucoup. Elle pensa à un homme de la tribu de Khouza‘a qui avait souffert de la persécution des Mecquois quand ils surent qu’il s’était converti à l’Islam (radiya Allahou ‘anhou). Elle alla le retrouver en cachette et lui parla de son projet de fuite.

 

L’homme (radiya Allahou ‘anhou) fut d’accord l’accompagner[6] et ils se donnèrent rendez-vous en dehors de la ville. Elle devait quitter la maison secrètement pour éviter la colère de ses frères ‘Amara et al-Walid.

 

Aux premières lueurs du matin, elle s’en alla au lieu de rendez-vous, portant un viatique suffisant et tirant son chameau. Elle trouva l’homme (radiya Allahou ‘anhou) qui l’attendait. Il prit le licou et s’en alla avec Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha).

 

Après un voyage exténuant, elle aperçut les palmiers qui entourent Médine, mais pendant ce temps sa fuite avait été découverte et aussitôt ses deux frères coururent à Médine pour la rattraper avant qu’elle ne soit en présence de Mouhammad (salla Allahou ‘aleyhi wa salam).

 

Mais ils arrivèrent trop tard. Ils allèrent à la mosquée du Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam). Pendant ce temps Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha) se tenait le ventre de peur qu’il n’accepte pour respecter sa parole. Elle savait ce qui l’attendait si elle retournait chez elle, peut-être y laisserait-elle la vie car c’est une humiliation pour eux que leur sœur ait choisi la religion de leur ennemi.

 

D’ailleurs, le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) avait renvoyé chez eux des hommes qui étaient venus proclamer leur foi. Mais allait-il faire de même pour Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha), une femme.

 

‘Amara se présenta donc devant le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) et lui rappela les clauses de leur accord, en insistant sur le fait qu’il ne pouvait enfreindre sa propre parole.

 

Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) fit envoyer le message à Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha) qui le supplia : « Ô Messager d’Allah, vas-tu me renvoyer chez les incrédules qui voudront me détourner de ma foi, ce que je ne pourrais faire, et tu sais ce qu’est le poids d’une femme ? »[7].

 

Alors, les versets qu’on a cités, au début de notre récit, furent révélés au Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) pour lui dire de faire exception pour les femmes.

Ces versets exigeaient que les femmes qui se retrouvent dans le cas de Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha) subissent une période d’épreuve ; ce qu’acceptèrent toutes les femmes, à commencer par la concernée.

 

Cette épreuve consistait, d’après ‘A’icha (radiya Allahou ‘anha) qui parlent de cet évènement à leur poser des questions pour savoir pour quelles raisons elles s’en viennent lui prêter serment. Si c’est par foi, leur arrivée est la bienvenue et le respect et la protection leur sont garantis, mais si c’est pour trouver un mari ou une fortune, alors elles devraient retourner chez elles.

 

Le serment des femmes au Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) ne se fait pas en serrant la main, mais par la parole seulement.[8] Le Prophète (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) n’a jamais touché la main à une femme.

 

Le Messager d’Allah (salla Allahou ‘aleyhi wa salam) disait aux femmes émigrantes : « Est-ce uniquement par amour d’Allah et de Son Messager de même que de l’Islam que vous êtes sorties ! La recherche d’un mari ou d’un bien quelconque n’y son pour rien ? ». Si elles répondaient par oui, il ne les remettait pas aux païens.[9]

 

Oum Kalthoum fut (radiya Allahou ‘anha) accueillie dans la communauté des musulmanes et elle fut considérée parmi ceux qui ont émigré pour la cause d’Allah (ta‘ala), sincère et pieuse comme devrait l’être toute musulmane.

 

Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha) sentit son cœur s’apaiser suite au verdict qui a été prononcé en sa faveur.

 

Zayd Ibn Haritha (radiya Allahou ‘anhou), un des héros de notre religion, la demanda en mariage et elle vécut avec lui jusqu’à ce qu’il meurt en martyr dans la bataille de Mou’ata. Après cela, elle épousa ‘Abd ar-Rahman Ibn ‘Awf (radiya Allahou ‘anhou) dont elle eut deux garçon : Ibrahim et Hamid (radiya Allahou ‘anhouma). Quand son deuxième époux mourut à son tour, elle épousa ‘Amr Ibn al-‘Ass. Elle mourut alors qu’elle était la femme de ce dernier, pendant le califat de ‘Ali Ibn Abi Talib (radiya Allahou ‘anhou).

 

Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha) rapporta dix (10) hadiths dont al-Boukhari et Mouslim en authentifièrent un.

 

C’était la biographie d’une femme honnête et pieuse qui a cru au Message de la Vérité. Elle n’a pas pu vivre parmi les païens alors que son cœur battait pour Seigneur l’Unique, Allah (ta‘ala) le Créateur de tout l’Univers. Elle choisit donc de fuir pour rejoindre sa vraie communauté et elle était la première femme à émigrer. Certains historiens disent qu’elle est partie à pied au lieu de monter sur son chameau.

 

Qu’Allah ait l’âme d’Oum Kalthoum (radiya Allahou ‘anha). Elle a été honorée quand ce verset a été révélé a son sujet et parce qu’elle a passé l’examen de la foi avec succès. Que le salut soit sur elle.



[1] « Al-Issâba » tome 4, page 476 et 1475 d’al-Hafîz Ibn Hajar al-‘Asqalânî.

[2] « Tabaqât » tome 8, page 23 – 232 de l’Imam Ibn Sa‘d.

[3] « Tarîkh » tome 3, page 71 de l’Imam at-Tabarî.

[4] « Tarîkh » tome 3, page 71 de l’Imam at-Tabarî.

[5] « Tarîkh » tome 3, « la Sîra prophètique » de l’Imam at-Tabarî.

[6]  Le récit a été cité dans « Al-Issâba » tome 4, page 476 et 1475 d’al-Hafîz Ibn Hajar al-‘Asqalânî ainsi que dans « al-Isti’âb » tome 4, page 465-466.

[7] « Siyar A‘lâm an-Noubalâ » de l’Imâm adh-Dhahabî.

[8] Rapporté par al-Boukhârî (5/228-229).

[9] « Tabaqât » tome 8, page 230 de l’Imam Ibn Sa‘d.



05/06/2013
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