ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

pourquoi les enquetes sur le terrorrisme sont toujours etouffées

POURQUOI LES ENQUETES SONT ELLES TOUJOURS ETOUFFEES ?


M'effiez vous des vacances offertes, des billets d'avions gagnés. Les extremistes du mossad utilisent toutes sortes de subterfuges pour accuser les musulmans ou les arabes. Rappelez vous des jeunes musulmans anglais qui devaient partir pour un voyage et qui ont été assassinés dans un attentat a la bombe de grande envergure.


Certains hauts responsables du renseignement militaire américain pensent que le Mossad (service israélien du renseignement extérieur) est particulièrement « impitoyable et retors ». Pour eux, il s’agit d’un « fauve échappé de sa cage, capable de viser des forces américaines, en faisant tout pour que cela ait l’air d’un acte commis par des Palestiniens ou des Arabes ».



Cette affirmation, qui devrait (nous) ouvrir les yeux, au sujet du plus proche allié supposé des Etats-Unis, figure en première page du Washington Times, un certain 10 septembre 2001 – c’est-à-dire : juste à la veille des attentats perpétrés aux Etats-Unis, qui ont été attribués à des « Arabes ».

Le Washington Times indique que cette accusation très sérieuse portée par des officiers américains contre Israël figure dans un rapport de soixante-huit pages, remis par soixante officiers à l’Ecole de l’Armée américaine pour les Etudes Militaires Avancées (une grande école formant de futurs officiers).

Puis, quelques heures après les attentats du 11 septembre, un analyste pro-israélien très connu, George Friedman, a affirmé qu’Israël était le premier bénéficiaire de ces attentats :

« Le grand gagnant, aujourd’hui – que cela soit intentionnel ou non – c’est l’Etat d’Israël », écrivit alors Friedman. Du même, sur son site ouèbe, http://www.statfor.com, ces propos : « Il n’y a aucun doute : les dirigeants israéliens sont soulagés ». Et cela, au lendemain des attentats aux Etats-Unis. Explication : les bénéfices qu’Israël allait en retirer.

Les interrogations soupçonneuses de l’armée américaine sur de possibles provocations israéliennes, couplées à la suggestion de notre analyste renommé disant qu’Israël était le « grand gagnant » du 11 septembre, donnent un nouveau relief à un article de The Village Voice, du 3 août 1993, affirmant que le Mossad pouvait être impliqué (ou, au minimum, en avait connaissance au préalable) dans l’attaque « terroriste arabe » contre le World Trade Center.

Les événements du 11 septembre doivent être examinés avec la plus extrême prudence, compte tenu du fait qu’Israël a un long « état de sévices », s’étant fait une spécialité de planter des « leurres » - assassinats orchestrés et actes de terreur – à ses propres fins, tout en accusant des pays tiers innocents de ces (et de ses…) crimes.

La plus connue des occurrences où Israël a eu recours à un « leurre » pour dissimuler ses propres traces est, sans aucun doute, l’ignominieuse affaire Lavon. En 1954, plusieurs attentats terroristes furent orchestrés par Israël, contre des cibles britanniques en Egypte. La responsabilité fut dirigée sur le mouvement des Frères Musulmans, opposé au régime du président égyptien Gamal Abdul-Nasser. Toutefois, la vérité sur ce déferlement de terreur fut retrouvée dans un télégramme – demeuré un certain temps secret – du colonel Benjamin Givli, chef du service de l’intelligence militaire israélien, qui soulignait l’objectif visé par cette vague d’attentats :

« Nous devons briser la confiance que l’Occident peut placer dans le régime égyptien actuel. Ces actions devraient provoquer des arrestations, des manifestations et des désirs de revanche. Leur origine israélienne doit être strictement dissimulée, tandis que l’attention doit être détournée le plus possible vers tout autre piste plau/pos-sible. Le but est d’empêcher que l’Egypte reçoive une quelconque aide économique – a fortiori, militaire – de l’Occident ».

Finalement, la vérité au sujet de l’implication israélienne fut révélée au public, et Israël fut fortement secoué, au plan international, dans les mois qui suivirent ce scandale. Des éléments politiques rivaux, à l’intérieur d’Israël, utilisèrent ce scandale comme une patate chaude, qu’ils se renvoyaient mutuellement. Mais la vérité sur l’utilisation par Israël, d’un « leurre », d’une victime expiatoire, attira l’attention du monde entier, démontrant à quel point Israël était prêt à sacrifier des vies innocentes à sa stratégie générale d’expansion de son influence au Moyen-Orient.


Tant qu’à faire, on accuse des « extrémistes de droite »

Un obscur mouvement d’ « extrême droite », Action Directe, fut accusé d’un attentat contre le restaurant Goldenberg, à Paris, le 9 août 1982. Six personnes furent tuées, et 22 furent blessées. Le chef d’Action Directe était Jean-Marc Rouillan. Il opérait auparavant dans la région méditerranéenne sous le pseudo de « Sebas », et il était connu pour ses liens avec le Mossad. Toute référence de la collaboration de Rouillan avec le Mossad fut occultée des rapports officiels publiés à l’époque.

Toutefois, l’Agence d’information nationale algérienne, qui entretient des liens avec les services français du renseignement, a accusé le Mossad d’avoir utilisé Rouillan à ses fins terroristes. Ce sont des officiers du renseignement français mécontents qui ont été soupçonnés d’avoir transmis cette information. Plusieurs hauts responsables des services français de renseignement ont démissionné, en protestation contre l’occultation de la complicité du Mossad dans les crimes exécutés (sur ses ordres) par Rouillan. Toutefois, il ne s’agit pas là de la seule opération de diversion opérée par le Mossad sur le territoire français.


Faux indices

Le 3 octobre 1980, la synagogue de la Rue Copernic, à Paris (16ème ardt) fut la cible d’un attentat à la bombe. On déplora quatre morts et neuf blessés. La frénésie qui s’empara des médias français à la suite de cet attentat se répandit dans le monde entier. Certains rapports tenaient « des extrémistes de droite » responsables de cet attentat. Néanmoins, aucun des « extrémistes de droite » interrogés par la police ne fut arrêté : tous furent innocentés. Aux plus hauts échelons du renseignement français, toutefois, un index de suspicion fut pointé sur le Mossad.

D’après un de ces rapports, « Le 6 avril 1979, la même unité terroriste du Mossad, aujourd’hui soupçonnée d’avoir perpétré le carnage de la rue Copernic, a fait sauter l’usine – très étroitement gardiennée – de la CNIM, à La Seyne-sur-Mer, près de Toulon, dans le sud de la France, usine dans laquelle un consortium d’entreprises françaises construisait un réacteur nucléaire destiné à l’Irak.

Le Mossad persilla le site de l’usine CNIM, détruite par l’explosion, d’ « indices », accompagnés d’appels téléphoniques anonymes à la police suggérant que le sabotage aurait été l’œuvre d’un « groupe écologiste »… « Des gens qui n’auraient pas fait de mal à une mouche », commenta une des sources.


On repasse le plat

Le 28 juin 1978, des agents israéliens ont fait sauter une bombe sous une voiture particulière rue Sainte-Anne, à Paris, tuant Muhammad Boudia, militant de l’OLP. Immédiatement après, la police parisienne reçut un appel téléphonique anonyme accusant Boudia d’implication dans un trafic de drogues et attribuant son assassinat à la mafia corse. Une enquête permit d’établir, plusieurs mois après, que des agents des opérations spéciales du Mossad avaient perpétré cet assassinat terroriste.

En octobre 1976, cette même unité du Mossad avait kidnappé deux étudiants d’Allemagne de l’Ouest, Brigette Schulz et Thomas Reuter, dans leur hôtel parisien. Des « indices » judicieusement placés et des appels téléphoniques anonymes firent croire un moment qu’une organisation « néonazie » avait exécuté cet enlèvement. Le renseignement français établit que les deux jeunes Allemands avaient été secrètement « expédiés » par avion en Israël, où ils avaient été drogués, torturés, et contraints à « avouer leur complicité » dans des activités de l’OLP. Après quoi ils avaient été mis au secret dans l’un des tristement célèbres pénitenciers politiques israéliens.

En février 1977, un citoyen américain d’origine allemande, William Jahnke, vint à Paris pour quelque réunion confidentielle, pour affaires. Il ne tarda pas à disparaître, ne laissant aucune trace. La police parisienne fut anonymement avisée que Jahnke avait été impliqué dans une affaire de pots-de-vin dans les hautes sphères de la Corée du Sud, et qu’il avait été « éliminé » après que l’affaire eut mal tourné. Une équipe spéciale d’enquêteurs du SDECE, principal service français du renseignement, finit par découvrir que Jahnke avait été « terminé » par le Mossad, qui le soupçonnait de vendre des informations secrètes à la Libye. Entre autres détails, sur cette affaire sordide, le SDECE découvrit que Jahnke avait été « désigné » au Mossad par son propre ancien employeur : la CIA !


On charge les Libyens

L’une des opérations, utilisant un « dindon de la farce », et réalisées par Israël, fut une vaste histoire de propagande, visant à discréditer le dirigeant libyen Muammar Qaddhafi. Au cours des premiers mois du mandat du président Ronald Reagan, les médias américains propagèrent un roman-feuilleton, selon lequel une « unité de tueurs libyens » se trouvait aux Etats-Unis, afin d’assassiner le président. Cela eut le don d’enflammer l’opinion publique contre la Libye.

Du jour au lendemain, toutefois, cette histoire d’ « unité de tueurs libyens à gage » disparut des gazettes. On venait de découvrir que la source de ce bobard était un certain Manucher Ghorbanifar, un ancien agent de la Savak (police secrète iranienne dont les liens étroits avec le Mossad étaient de notoriété publique). Même le libéral Washington Post reconnut que la CIA elle-même savait que Ghorbanifar était un menteur, qui « avait inventé cette histoire de tueurs libyens, afin de causer des problèmes à l’un des ennemis d’Israël ».

Le Los Angeles Times avait, déjà auparavant, vendu la mèche en relatant les histoires d’horreur d’Israël. « Ce sont les services de renseignement israéliens, et non les responsables de l’administration Reagan », écrivait le Times, « qui ont diffusé certains rapports extrêmement alarmants au sujet d’une soi-disant équipe de tueurs libyens, envoyés aux Etats-Unis afin d’y assassiner le président Reagan et d’autres hauts responsables de l’Etat… Israël, dont des sources informées disent qu’il « voulait un prétexte qui aurait entraîné une mise au ban de la Libye pour très longtemps », cherche vraisemblablement à monter l’opinion publique américaine contre la Libye, afin d’obtenir son soutien à une frappe militaire contre Qaddhafi. »

Autrement dit, Israël avait réussi à faire passer l’ex-agent de la Savak Ghorbanifar, pour une source fiable aux yeux de Washington. En réalité, Ghorbanifar n’était qu’un « faux drapeau » de désinformation, agité par le Mossad. Il s’agissait d’une énième opération de tromperie d’Israël, visant à faire accuser la Libye de ses propres méfaits, en utilisant un « faux drapeau » (la Savak iranienne), afin de faire retomber la faute sur un autre « faux drapeau », la Libye…

Il est quasi certain que le Mossad est responsable de l’attentat à la bombe contre la discothèque La Belle, à Berlin Ouest, le 5 avril 1986. Néanmoins, des objurgations sur des preuves « irréfutables » de la responsabilité libyenne furent entendues. Un militaire américain fut tué. Le président Ronald Reagan répliqua par un bombardement en Libye.

Toutefois, des sources internes aux services de renseignement ont indiqué être persuadés que le Mossad avait concocté une fausse « preuve » de la responsabilité libyenne. Le chef de la police de Berlin Ouest, Manfred Ganschow, chargé de l’enquête, a innocenté les Libyens, déclarant : « Il s’agit d’une affaire éminemment politique. Certaines des preuves mentionnées à Washington n’en sont peut-être pas du tout. Il ne s’agit que de présomptions politiques, avancées pour des raisons politiques. »


Au tour des Syriens…

Le 18 avril 1986, Nezar Hindawy, un Jordanien âgé de trente-deux ans, fut arrêté à Londres après que des agents de sécurité eurent découvert que l’un des passagers d’un avion de ligne israélien en partance pour Tel Aviv, Ann Murphy, transportait une plaque de plastic (explosif puissant et malléable) dans un double-fond de son bagage à main.

Mademoiselle Murphy dit aux hommes de la sécurité que le détonateur (camouflé en calculette) lui avait été remis par son fiancé, Hindawi. Celui-ci fut accusé de tentative de sabotage et de tentative de crime.

On fit courir le bruit qu’Hindawi aurait avoué. Ses services auraient été loués par le général Mohammad Al-Khouli, directeur des services de renseignement de l’aviation (militaire) syrienne. D’autres personnes furent citées, dont l’ambassadeur de Syrie à Londres. Les autorités françaises avertirent le Premier ministre britannique qu’il y avait anguille sous roche : en l’occurrence, l’instigation israélienne. Cela fut confirmé, ultérieurement, par la presse occidentale.


Mince : on a failli oublier l’OLP !

En 1970, le roi Hussein de Jordanie reçut des renseignements mettant gravement en cause l’OLP, accusée de fomenter son assassinat et un coup d’état. Furieux, Hussein mobilisa ses forces armées, en préparation de la purge de l’OLP, connue sous le nom de « Septembre Noir ». Des milliers de Palestiniens vivant en Jordanie furent raflés, certains dirigeants palestiniens furent torturés et cela se termina par des milliers de réfugiés chassés de Jordanie vers un nouvel exil au Liban.

De nouvelles informations, venues au jour après l’assassinat de deux agents éminents du Mossad à Larnaka (Chypre), suggèrent que toute l’opération avait été montée par le Mossad, sous la direction de l’une de ses principales dirigeantes, Sylvia Roxburgh. Après avoir fait tomber dans les rets de son irrésistible séduction le roi Hussein, cette femme fatale fut l’héroïne d’un coup majeur du Mossad, destiné à déstabiliser l’ensemble du camp arabe.

En 1982, juste après que l’OLP ait décidé de ne plus recourir au terrorisme, le Mossad répandit sa désinformation au sujet d’ « attaques terroristes » contre des colonies israéliennes proches de la frontière nord, prétexte à une invasion à grande échelle du Liban. Des années après, même des porte-parole israéliens éminents, tel l’ancien ministre des Affaires étrangères Abba Eban, admirent que les informations au sujet du « terrorisme de l’OLP » étaient sorties de l’imagination des agents du Mossad.

Il convient aussi de noter que l’assassinat manqué, à Londres, de l’ambassadeur israélien Shlomo Argov, fut, dans un premier temps, attribué à l’OLP. Cette tentative d’assassinat a été citée par Israël au nombre des prétextes pour son invasion du Liban, en 1982. En réalité, ce diplomate faisait partie des « colombes » israéliennes, et il penchait pour un règlement à l’amiable du conflit entre Israël et l’OLP. Il était donc une cible des plus improbable pour la colère de ce mouvement.

Il semble bien que cette tentative d’assassinat ait été effectuée par le Mossad – là encore, en guise de « leurre » - afin de faire, d’une balle, deux coups : a) éliminer un « pacifiste » domestique beaucoup trop amical à l’égard des Palestiniens et ; b) attribuer, ce faisant, un énième crime (le mensonge de trop ?) à l’OLP…

Source : American Free Press

 



25/09/2011
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