ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

ISLAM SELON LE CORAN ET LA SUNNA

preuves de la non divinité de jesus (as)

Preuves de la non divinité de Jésus (Extrait d’un débat entre chrétiens et musulmans au Forum Bible ou Coran)

Jésus désavoue ceux qui le divinisent en l’appelant : Seigneur ! Il ne les reconnaîtra pas au Jour de la résurrection :

« Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux. Plusieurs me diront ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n’avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n’avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ? Alors je leur dirai ouvertement : je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l’iniquité. » Mt 7.21-24

Quelqu’un qui prie Dieu et qui l’invoque n’est pas Dieu. Or, Jésus priait Dieu et L’invoquait :

« En ce temps-là, Jésus se rendit sur la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu. » (Lc 6.12) Jésus avoue en Jean 14.2 que le Père est plus grand que lui.

Le fait qu’il ait lancé des cris de détresse sur la croix n’est-il pas une preuve de faiblesse incompatible avec la divinité ? Comment appeler Dieu quelqu’un qui s’écria : « Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (Mt 27.46)

Jésus n’a pas cessé de prêcher la nécessité de connaître et d’adorer Dieu pour avoir la vie éternelle : « Or, la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ. » Jn 17.3

« Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son oeuvre » Jn 4.34

« Quel est le premier de tous les commandements ? Jésus répondit : Voici le premier : Ecoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l’unique Seigneur » Marc 12.29

« Le Dieu de nos pères a ressuscité Jésus que vous avez tué en le pendant au bois. Dieu l’a élevé par sa droite comme Prince et sauveur, pour donner à Israël la repentance et le pardon des péchés. » Ac 5.31

« Elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus ; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés » Matthieu 1.21

« Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël » Matthieu 15.24

Ces versets démontrent que Jésus est le Sauveur d’Israël uniquement auquel il a été envoyé. Il n’est pas le Sauveur de tous les Humains.

« Je ne cesse de rendre grâce pour vous, faisant mention de vous dans mes prières, afin que le Dieu de notre Seigneur Jésus-Christ, le Père de gloire, vous donne un esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance, et qu’il illumine les yeux de votre cœur… » 1Ep 1.16-18

Marc 10,17 Jésus se mettait en route quand un homme accourut vers lui, se mit à genoux et lui demanda : « Bon maître, que dois-je faire pour avoir en héritage la vie éternelle ? » Jésus lui dit : « Pourquoi m’appelles-tu bon ? Personne n’est bon, sinon Dieu seul.

Il est bien évident que la requête n’est pas adressée à Jésus-Christ mais à Dieu, le Seigneur de Jésus-Christ. « Dieu, qui est le Père du Seigneur Jésus-Christ, et qui est béni éternellement, sait que je ne mens point ! » 2Cor 11.31,32

Lorsque les Juifs exprimèrent leur étonnement des connaissances qu’avait Jésus, lui « qui n’a point étudié », Jésus leur répondit : « Mon enseignement n’est pas de moi, mais de celui qui m’a envoyé » Jn 7. 14-16

Jésus a affirmé que Seul le Père au ciel peut attribuer des places au paradis. (Mt 20.23)

Jésus a reconnu son ignorance du jour de la résurrection, affirmant que Seul le Père le sait : « Pour ce qui est du jour ou de l’heure, personne ne le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul. » Mc 13.32

Jésus a déclaré que l’entrée dans le Royaume des cieux est réservée à ceux qui font, non pas sa volonté, mais la volonté de son Père qui est dans les cieux. (Mt 7.21)

Jésus avoue que c’est la volonté de Dieu qui l’emporte et non la sienne :

« Mon Père, s’il est possible que cette coupe s’éloigne de moi ! Toutefois, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux. » Mt 26.39

« En ce moment même, Jésus tressaillit de joie dans son esprit, et il dit : Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants. » Lc 10.21

Jésus enseignait la prière à ses disciples, une prière entièrement consacrée à l’adoration de Dieu, ne comportant nullement la moindre allusion à une requête à l’endroit de Jésus. Lc 11.1-4 ; Mt 6.9-13

« Jésus est un médiateur entre Dieu et les hommes. »1Tm

2.5 « Et n’appelez personne sur la terre votre père ; car un seul est votre Père, celui qui est dans les cieux. » Mt 23.9

« Je veux cependant que vous sachiez que Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de Christ » 1Co 11.3

Jésus parlait dans un style métaphorique ; son discours abonde en métaphores, de sorte qu’il fût souvent amené à faire des comparaisons pour se faire comprendre.

Ainsi par exemple lorsqu’il dit : ‘‘ Moi et le Père, nous sommes un’’, c’est par pure métaphore qu’il s’exprimait ainsi. Il a d’ailleurs expliqué aux Juifs le sens de la métaphore lorsque ces derniers, considérant ses propos blasphématoires, prirent des pierres pour le lapider. Quand Jésus leur demanda : « pour laquelle des bonnes œuvres me lapidez-vous ? » Les Juifs lui répondirent : « Ce n’est pas pour une bonne œuvre que nous te lapidons, mais pour un blasphème, et parce que toi, qui es un homme, tu te fais Dieu. » (Jn 10.30-33)

Jésus leur répondit : « N’est-il pas écrit dans votre loi : « Vous êtes des dieux ? Si donc elle a appelé dieux ceux à qui la parole de Dieu a été adressée, à combien plus forte raison celui que le Père a sanctifié et envoyé dans le monde ! »

Si Jésus s’est attribué le titre de Dieu, c’est uniquement par métaphore et pour signifier qu’il agissait au nom de Celui qui l’a envoyé.

Jésus n’entendait pas ces propos dans leur sens littéral, de sorte qu’il soit réellement uni avec Dieu. Il voulait simplement dire qu’il agissait au nom et pour la cause de Celui qui l’a sanctifié et envoyé dans le monde. Tout comme le représentant ou le mandataire qui s’identifie au mandant, Jésus s’identifia à Dieu qui l’envoya dans le monde afin d’accomplir une mission en son nom. L’usage de la métaphore était très fréquent chez les Prophètes. Ce style abonde dans la Bible.

Par ailleurs, Moïse aussi fut appelé Dieu à l’occasion de sa mission pour le Pharaon : « L’Eternel dit à Moïse : Vois, je te fais Dieu pour Pharaon ; et Aaron, ton frère, sera ton prophète. » Ex 7.1

Dans sa réponse aux Juifs, Jésus s’est nettement proclamé Envoyé de Dieu, écartant toute idée de participation à la divinité comme ces derniers l’avaient prétendu.

« J’avais dit : Vous êtes tous des dieux, vous êtes tous des fils du Très-Haut, cependant vous mourrez comme des hommes. » Ps 82.6,7

Matthieu 15.9 « C’est injustement qu’ils m’adorent »

Matthieu 14.23 Quand il l’eut renvoyée, il monta sur la montagne, pour prier à l’écart ; et, comme le soir était venu, il était là seul.

Matthieu 26:36 Là-dessus, Jésus alla avec eux dans un lieu appelé Gethsémani, et il dit aux disciples : Asseyez-vous ici, pendant que je m’éloignerai pour prier.

Luc 6:12 En ce temps-là, Jésus se rendit sur la montagne pour prier, et il passa toute la nuit à prier Dieu.

Luc 9:28 Environ huit jours après qu’il eut dit ces paroles, Jésus prit avec lui Pierre, Jean et Jacques, et il monta sur la montagne pour prier.

Luc 18:1 Jésus leur adressa une parabole, pour montrer qu’il faut toujours prier, et ne point se relâcher.

Jean 4.23 Mais l’heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande.

Encore une fois, Jésus n’est pas Dieu pour être prié. Il y a suffisamment de preuves dans les versets ci-dessus.

Réfléchissez !

Cet enfant qui est né d’une vierge a dit : Je ne suis pas Dieu, je ne suis qu’un homme, un Prophète, un envoyé, toute gloire revient à Celui qui m’a envoyé, toute adoration est due à Celui qui m’a envoyé, toute louange est due à Celui qui m’a envoyé, je fais la Volonté ( c’est-à-dire j’exécute les ordres) de Celui qui m’a envoyé. Il priait Dieu, l’invoquait, lui chantait louanges. IL VOUS A DIT : « C’est injustement que vous m’adorez » Matthieu 15.9

Citation : « Jean n’a t’il pas dit : 1 Jean 2:22 Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l’antéchrist, qui nie le Père et le Fils. »

Réponse :

Le Père et le fils dans un sens métaphorique. Dieu n’est le père de personne :

« Vous êtes les enfants de l’Éternel, votre Dieu » Deutéronome 14:1

« Heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu ! » Matthieu 5:9

« Mais aimez vos ennemis, faites du bien, et prêtez sans rien espérer. Et votre récompense sera grande, et vous serez fils du Très Haut, car il est bon pour les ingrats et pour les méchants. » Luc 6:35

« Mais moi, je vous dis : Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent, afin que vous soyez fils de votre Père qui est dans les cieux ; Matthieu 5:44-45

Soyez donc parfaits, comme votre Père céleste est parfait Matthieu 5:48

Je serai pour vous un père, Et vous serez pour moi des fils et des filles, Dit le Seigneur tout puissant 2 Corinthiens 6:18

« …on leur dira : Fils du Dieu vivant ! » Osée 2:1

« Le centenier, qui était en face de Jésus, voyant qu’il avait expiré de la sorte, dit : ‘‘ Assurément, cet homme était Fils de Dieu’’. » Mc 15.39

« Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui ; et il ne peut pécher parce qu’il est né de Dieu. C’est par-là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du Diable. Quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu » 1Jn 3.9,10

« Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres ; car l’amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. » 1Jn 4.7

Dans son Epître aux Romains, Paul dit : « Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. » Rm 8.14

Tandis que dans son Epître aux Philippiens, il dit : « Faites toutes choses sans murmures ni hésitations, afin que vous soyez irréprochables et purs, des enfants de Dieu. » Ph 2.14,15

Ainsi il apparaît clairement que le terme ‘‘Fils de Dieu’’ est pris dans un sens figuré, de même que le nom de Dieu attribué à des personnes, ne peut être pris que dans un sens figuré.

C’est dire que les mots « Père » et « Fils » reviennent fréquemment sous la plume des Auteurs de l’Ancien et du Nouveau Testament auxquels le langage métaphorique était très familier.

Dans l’Exode, il est écrit : « Tu diras à Pharaon : Ainsi parle l’Eternel : Israël est mon fils, mon premier-né. Je te dis : laisse aller mon fils, pour qu’il me serve ; si tu refuses de le laisser aller, voici je ferai périr ton fils, ton premier-né. » Ex 4.22, 23

Dans les Psaumes, on lit : « J’ai trouvé David, mon serviteur, je l’ai oint de mon huile sainte, ma main le soutiendra, et mon bras le fortifiera…Lui, il m’invoquera : Tu es mon Père, mon Dieu et le rocher de mon salut ! Et moi, je ferai de lui le premier-né. » Ps 89. 22-28

Il est bien évident que les mots Père et Fils échangés entre Dieu et David ne peuvent être pris que dans une acception métaphorique. « Il m’a dit : Salomon, ton fils, bâtira ma maison et mes parvis ; car je l’ai choisi pour mon fils, et je serai pour lui un père. » 1Ch 28.6

Le prophète Jérémie rapporte cette parole de Dieu : « Car je suis un père pour Israël, et Ephraïm est mon premier-né. » Jr 31.9

Ephraïm est le nom d’une tribu israélite qui tire son nom de la montagne d’Ephraïm. Et pourtant on lui donne le titre de premier-né, ce qui signifie que ce mot peut désigner indifféremment des personnes, des tribus ou des peuples. Dans de nombreux passages de l’Ancien Testament, on trouve l’expression ‘‘fils de Dieu’’ appliquée à tous les enfants d’Israël ? Ainsi par exemple : « Vous êtes les enfants de l’Eternel votre Dieu » Dt 14.1 « L’Eternel l’a vu, et Il a été irrité, indigné contre ses fils et ses filles. » Dt 32.19

« Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? » Job 38.7

« …On leur dira : Fils du Dieu vivant » Osée 2.1 De même que cette expression fut appliquée aux premières générations humaines : « Les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, et ils en prirent pour femmes parmi toutes celles qu’ils choisirent. » Gn 6.2-4

Si ces titres impliquaient une quelconque signification réelle en rapport avec la divinité, Israël, David et Ephraïm, en tant que premiers-nés, auraient plus de droit à la divinité que Jésus et ce, en vertu des droits rattachés à la primogéniture (les droits d’aînesse) ; Jésus n’étant qu’un puîné, n’ayant même pas le droit à l’héritage selon les traditions de l’époque : « Tu sais bien que, puîné, je n’ai point part à l’héritage » (Gide)

Le Coran enseigne cependant que ce mot a été détourné de son sens figuré pour prendre un sens péjoratif, blasphématoire.

A ce propos, il déclare : « Les Juifs ont dit : « Uzaïr est fils de Dieu ! » Les Chrétiens ont dit : « Le Messie est fils de Dieu ! » Telle est la parole qui sort de leurs bouches ; ils répètent ce que les mécréants disaient avant eux. Qu’Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils de la vérité. » s9, v30

En effet, des termes semblables apparurent aussi chez d’autres peuples. On trouve, par exemple, le terme ‘‘fils du ciel’’ chez les Chinois, ‘‘descendants des dieux’’ chez les Grecs, les Brahmanistes, ‘‘descendant du soleil’’ chez les Japonais.

D’aucuns se permettent de justifier l’usage de ce terme dans un sens spirituel, soulignant que le Christ serait le fils spirituel et non charnel de Dieu.

La réaction énergique du Coran écarte toute idée d’une simple acception ou usage symbolique de ce terme. Si Dieu s’en prend avec véhémence à ceux qui lui attribuent un fils, c’est bien la preuve que ce terme est et a été pris au sens propre, ce qui constitue une grave offense à la divinité.

Il s’agit d’hallucinations et de mensonges que le Coran condamne de la manière la plus vigoureuse :

« Et ils ont dit : « Allah s’est donné un fils » ! Gloire à Lui ! Non ! Mais c’est à Lui qu’appartient ce qui est dans les cieux et la terre et c’est à Lui que tous obéissent. » s2, v115

« Gloire à Lui ! Il transcende tout ce qu’ils Lui attribuent. Créateur des cieux et de la terre. Comment aurait-il un enfant, quand Il n’a pas de compagne ? C’est Lui qui a tout créé, et Il est Omniscient. » s6, V 100,101

« Ils disent : « Allah s’est donné un enfant » Gloire et Pureté à Lui ! Il est Le Riche par excellence. A Lui appartient tout ce qui est aux cieux et sur la terre. » s10, v68

« Et dis : Louange à Allah qui ne s’est jamais attribué d’enfant, qui n’a point d’associé en la royauté et qui n’a jamais eu de protecteur de l’humiliation. Et proclame hautement Sa grandeur. » s17, v111

« Un Livre d’une parfaite droiture pour avertir d’une sévère punition de sa part…et pour avertir ceux qui disent : « Allah s’est attribué un enfant. » Ni eux ni leurs ancêtres n’en savent rien. Quelle monstrueuse parole que celle qui sort de leurs bouches ! Ce qu’ils disent n’est que mensonge. » s18, v 1-5

« Il ne convient pas à Allah de s’attribuer un fils, Gloire et Pureté à Lui ! Quand Il décide d’une chose, Il dit seulement : « sois ! » et elle est. » s19, v35

C’est un blasphème qui peut faire trembler tout l’univers :

« Et ils ont dit : « Le Tout Miséricordieux s’est attribué un enfant ! » Vous avancez certes là une chose abominable ! Peu s’en faut que les cieux ne s’entrouvrent à ces mots, que la terre ne se fende et que les montagnes ne s’écroulent du fait qu’ils ont attribué un enfant au Tout Miséricordieux, alors qu’il ne convient nullement au Tout Miséricordieux d’avoir un enfant ! Tous ceux qui sont dans les cieux et sur la terre se rendront auprès du Tout Miséricordieux en serviteurs. Il les a dénombrés et bien comptés. Et au jour de la résurrection, chacun d’eux se rendra seul auprès de Lui. » s19, v88-95

« Et ils disent : « Le Tout Miséricordieux s’est donné un enfant. » Pureté à Lui ! Mais ce sont plutôt des serviteurs honorés. » s21, v26

« Allah ne s’est point attribué d’enfant et il n’existe point de divinité avec Lui ; sinon, chaque divinité s’en irait avec ce qu’elle a créé, et certaines seraient supérieures aux autres. Gloire et Pureté à Allah ! Il est supérieur à tout ce qu’ils décrivent. » s23, v91

« Qu’on exalte la Bénédiction de Celui qui a fait descendre le Livre de discernement sur Son serviteur, afin qu’il soit un avertisseur à l’univers. Celui à qui appartient la royauté des cieux et de la terre, qui ne s’est point attribué d’enfant, qui n’a point d’associé en Sa royauté et qui a créé toute chose en lui donnant ses justes proportions. » s25, v1,2

« Dis : « Si le Tout Miséricordieux avait un enfant, alors je serais le premier à l’adorer. » s43, v81

Ces versets montrent que le fait d’attribuer à Dieu un fils est une grande offense à la divinité. Une telle prétention peut provoquer un glissement vers le polythéisme dans la mesure où elle introduit l’idée de succession ou de partage des attributs entre le Père et le Fils.

De la sorte, il est déjà porté atteinte à l’unicité de Dieu, ne serait-ce que par la pensée. C’est la raison pour laquelle le Coran condamne vigoureusement pareilles croyances.

Citation : « Je ne vois aucun rapport entre ce texte et le fait que Jésus lui même ait confirmé la loi et les prophètes ! l y a des dizaines de prophéties qui se sont déjà réalisées et la Thora annonce le messie ; et tout dans l’ANT était l’ombre des choses a venir ! La Bible dit elle-même que la loi et les prophètes étaient un pédagogue qui conduit a Christ et son oeuvre ! Que signifie être sous la grâce et ne plus être sous la loi ? Tout simplement le texte signifie que nous ne sommes plus sous la malédiction de la loi ! Il n’est en effet pas question des commandements de Dieu, mais du joug de la loi, qui du même fait, n’a pas apporté la perfection, à personne. »

Réponse : Donc tu qualifies la Noble Torah de malédiction, de joug ! Quelle sacrée religion tu professes ? Alors que Jésus dit qu’il n’est pas venu abolir mais accomplir.



01/09/2013
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